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Le_Francais_des_relations_internationales

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Le Français des relations internationales

perspective. A en croire la presse anglophone, 2004 ne serait rien d'autre que la commémoration de « la visite de Samuel de Champlain » (The Nova Scotian Sunday Herald), le voyage d'un aimable explorateur émerveillé par les nouvelles espèces d'oiseaux, ravi par le fumet d'un nez d'orignal bouilli ou d'une queue de castor braisée... « Il y a encore six ans, l'université de Halifax ne dispensait pas l'enseignement de l'histoire avant 1749 [date de la création de la ville], rappelle Jean Léger. J'y vois plutôt l'expression d'une méconnaissance qu'une volonté délibérée d'occulter notre passé. » Va

donc pour l'indifférence ! « Tout ce qu'ils retiennent de notre culture, c'est notre amourde la musique, de la bonne chère, de la fête », soupire Vaughan Madden, directrice générale du Congrès mondial des Acadiens 2004. L'humeur des Acadiens des Maritimes n'est pourtant pas au ressentiment. Il est significatif que l'action intentée contre la reine Elisabeth pour demander une repentance à propos de la déportation de 1755 ait été le fait d'un avocat américain, natif de Lafayette, en Louisiane, Warren Perrin.

Après une longue négociation, le gouvernement d'Ottawa a fini par relayer officiellement cette requête à Londres. Et, le 9 décembre 2003, Elisabeth, « reine du Canada », a adressé une « proclamation » à ses « féaux sujets ». « Reconnaiss[ant] les épreuves et souffrances subies par les Acadiens lors du Grand Dérangement » et « souhait[ant] que les Acadiens puissent tourner la page sur cette période sombre de leur histoire », la reine, « sur et avec l'avis de Notre conseil privé pour le Canada », a désigné le 28 juillet comme « Journée de commémoration du Grand Dérangement ». Prudente, Elisabeth a pris soin, néanmoins, d'écarter explicitement toute « reconnaissance de responsabilité juridique ou financière ». Parce que le texte paraît être rédigé par la reine, mais qu'il est signé par le gouverneur général Adrienne Clarkson, la Société nationale de l'Acadie a déjà demandé que, l'an prochain, pour le 250e anniversaire de la déportation, Elisabeth lise cette proclamation en public. A suivre...

Ce premier geste de la Couronne représente, toutefois, une petite victoire pour le pouvoir fédéral, qui a, au moins, un triple intérêt à soigner ces francophones de l'Atlantique, comme l'atteste son soutien financier aux fêtes acadiennes, lequel tranche avec la pingrerie des autorités provinciales. D'abord, pour souligner le caractère bilingue du pays. Parce que Pierre Elliott Trudeau a fait du Canada un Etat multiculturel et que les nouveaux Canadiens (plus de 200 000 immigrants arrivent chaque année) ignorent cette histoire, il est nécessaire de rappeler le compromis passé au XIXe siècle qui veut que la création du Canada moderne repose sur « deux peuples fondateurs », les Français et les Anglais. Ensuite, parce que l'occasion est belle de signifier au grand voisin états-unien, dont les Canadiens craignent à juste titre l'emprise, cette singularité. Nombre de Canadiens anglais de l'Ontario restent attachés à ce particularisme parce qu'ils y voient justement le meilleur rempart contre le risque d'annexion rampante qu'implique le formidable pouvoir d'attraction de l'hyperpuissance. « La résistance de la culture acadienne est source de fierté nationale et de reconnaissance internationale », a ainsi déclaré le Premier ministre Paul Martin. Comme, en somme, une reproduction, à un échelon local, de cette même aspiration canadienne à continuer à exister à côté des EtatsUnis. Le troisième objectif des autorités fédérales, à Ottawa, enfin, est de convaincre les nationalistes québécois qu'ils ne détiennent pas le monopole de l'aventure française au Canada, mais que celle-ci s'identifie à l'ensemble du pays.

Car, dans la Belle Province, quand on parle du « 400e », c'est pour évoquer... 2008. L'anniversaire de la fondation de la ville de Québec par Champlain. Le vrai point de départ, aux yeux des Québécois. « Les commémorations ont toujours été l'objet de récupérations politiques, explique l'historien Jacques Lacoursière. En 1908, le 300e est placé sous le signe des retrouvailles. Une souscription est lancée pour acheter le champ de bataille des plaines d'Abraham (à la suite de laquelle les Anglais, vainqueurs, prennent Québec) et, dans le défilé avec costumes d'époque, les deux personnages qui représentent le général britannique Wolfe et le Français Montcalm avancent, bras dessus, bras dessous ! En 1967,

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pour le centenaire de la Confédération, les indépendantistes dénoncent '' cent ans d'injustices ''. »

Les Canadiens peuvent-ils avoir en commun une même histoire nationale ? « J'ai participé à sept débats sur ce sujet ! » sourit Jacques Lacoursière. En 1967, une tentative de rédiger un manuel scolaire commun, sous la houlette d'historiens francophones et anglophones, aboutit à un ouvrage. Canada, unity in diversity est le titre anglais. Canada, unité et diversité est le titre français, ce qui n'est pas du tout la même chose... Déterminer qui a découvert le Canada reste un débat ouvert : pour les francophones, c'est Jacques Cartier, bien sûr, le premier à explorer la côte orientale du continent. Mais pour la province de Terre-Neuve, qui a célébré, en 1997, le 500e anniversaire de son débarquement, c'est Giovanni Cabotto (Jean Cabot), un marin au service du roi d'Angleterre... Il reste possible que, avant eux, des marins de Bristol aient abordé la région. Et puis, bien avant, il y a les Vikings... L'histoire du Canada ne commence pas à la même date pour tout le monde. Selon son origine, selon la province où on réside, les repères changent.

L 'histoire de l'Ontario commence en 1791. Les Québécois ignorent celle des Prairies et de l'Alberta, plus récente encore. Et le Canada anglais sous-estime l'extraordinaire aventure des explorateurs canadiens français. Les implications politiques de ce brouillage sont évidentes. « Le Canada est-il une fédération de trois nations (canadienne anglaise, canadienne française [ou québécoise], amérindienne) ou une société multiculturelle avec deux langues officielles ? interroge Jack Jedwab, directeur exécutif à l'Association des études canadiennes. C'est un pays aux histoires multiples qui s'accommode de cette cohabitation et se retrouve d'abord sur des valeurs. » Interrogés dans les sondages, les Canadiens répondent ainsi que « l'histoire du Canada est d'abord une histoire d'accroissement du multiculturalisme », puis celle de « l'établissement d'un filet de sécurité sociale ». La moitié de la population compte, il est vrai, un parent ou un grandparent né à l'étranger. Les Québécois, eux, sont divisés quand on leur demande de choisir « l'événement le plus important dans l'histoire du Canada » : pour les souverainistes, c'est la défaite des plaines d'Abraham ; pour les fédéralistes, c'est l'établissement de la Charte des droits et libertés en 1982 et le droit de vote accordé aux femmes au niveau fédéral en 1918.

La mémoire collective française, elle, a choisi de se réfugier dans l'amnésie. « La France ne s'intéresse guère à la Nouvelle-France », constate Jean-Pierre Hardy, conservateur au musée des Civilisations d'Ottawa qui abrite, jusqu'en avril 2005, une vaste exposition sur l'Amérique du Nord sous le régime français et la naissance d'une société originale. Qui se souvient encore, chez nous, des épopées de Jean Talon, Louis Buade de Frontenac, Pierre Le Moyne d'Iberville, Antoine Laumet Lamothe Cadillac ? Qui sait que Saint Louis, Baton Rouge, Detroit ont été fondés par des Français ? « Cette histoire est quasi absente des programmes scolaires et très peu étudiée à l'université », notent dans un ouvrage passionnant, Histoire de l'Amérique française, Gilles Havard et Cécile Vidal (Flammarion) (1). Et pourtant... « La France possédait autrefois, dans l'Amérique septentrionale, un vaste empire qui s'étendait depuis le Labrador jusqu'aux Florides, et depuis les rivages de l'Atlantique jusqu'aux lacs les plus reculés du haut Canada », écrit Chateaubriand dans la préface d'Atala. Mais la monarchie a préféré, en 1763, les « îles à sucre » des Antilles à « ce pays couvert de glaces huit mois de l'année, habité par des barbares, des ours et des castors », selon la formule de Voltaire. Et le Premier consul, tout attaché à son rêve d'unité européenne, brade, dans l'indifférence, quarante ans plus tard, l'immense Louisiane à la jeune république américaine. Longtemps oubliée, la forteresse de Louisbourg (île du Cap-Breton), le Gibraltar de l'Amérique du Nord, fondée en 1713 par les Français et conquise par les Anglais en 1758, n'est restaurée, en 1928, qu'à l'initiative d'une riche Américaine de Boston. En 2004, la France bâtit à Brouage (Charente-Maritime),

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patrie de Champlain, un musée et un centre de documentation. La République a versé son écot pour la numérisation des archives de la Nouvelle-France. Et on tourne une coproduction franco-canadienne avec Gérard Depardieu et Vincent Perez. C'est tout. Les Français semblent ignorer qu'il est des défaites malgré tout glorieuses.

(1) A lire aussi: Champlain, la naissance de l'Amérique française, par Raymonde Litalien et Denis Vaugeois, chez Septentrion et Nouveau Monde éditions.

de notre envoyé spécial Jean-Michel Demetz, © L'Express, édition du 04 octobre 2004

Document 8 :

© L'Express, édition du 04 octobre 2004

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Méthode d'analyse et de synthèse

Analyse des documents :

L'analyse d'un document, quel qu'il soit, commence toujours par le repérage des métadonnées. Quelle est la source du document, où, quand et par qui a-t-il été publié, qui en est l'auteur, à quel public s'adresse-t-il ? Tous ces détails éclairent la manière dont nous devons aborder le document, quel crédit nous devons donner aux informations qui y sont contenues et quel degré d'objectivité ou d'impartialité nous devons accorder aux opinions exprimées. Ces éléments permettent de déterminer la validité ou la prétention à l'universalité du document. C'est ainsi que Socrate, lorsqu'il dialoguait avec un interlocuteur, commençait par lui poser la question : d'où parles-tu ?

La forme ou le format sont également des éléments fondamentaux dans l'appréhension d'un document. Quel est le titre, le chapeau (ou le sous-titre), quels sont les intertitres, Combien y a-t-il de paragraphes ou de colonnes, quelles sont les citations ou les illustrations ? Y a-t-il des données numériques ou statistiques ? Y'a-t-il des notes ou des encadrés ? L'auteur a-t-il adjoint à son texte une bibliographie ?

Une fois le défrichage du document réalisé, on peut commencer à analyser le contenu du document. Le rhéteur romain Quintilien établit que tout discours bien construit doit répondre aux six questions : qui, quoi, quand, où, pourquoi, comment. La première étape de l'analyse du document commence donc par rechercher la réponse à ces six questions. Si le document est bien construit, l'auteur répond à ces questions dans la ou les premières phrases.

A partir de ces informations on peut définir la thèse principale du document et dire si le document a plutôt une valeur informative ou incitative, c'est-à-dire déterminer le but communicatif du document.

Puis on analyse chaque partie du document. On propose un résumé de chaque partie en montrant l'idée directrice, on rapporte les citations ou données statistiques et/ou chronologiques, en précisant quelle est leur valeur informative. On analyse le rôle de la syntaxe du texte pour définir quel est le style du document. On détermine le style de narration, qui refléte la prétention à l'objectivité du document. On analyse les personnages et les événements. On relève les registres de langue, ainsi que le ton, le style, les images qui sont des signes de l'intention argumentative et communicative de l'auteur. On relève les épithètes, dont on analyse la fonction stylistique, pour déterminer leur participation à la création d'une identité sémantique. De même pour les emplois figurés, leur analyse permet de déterminer l'expressivité et la fonction communicative du document. Il est souhaitable d'essayer d'inférer la signification des mots inconnus à partir du contexte syntaxique.

Enfin l'analyse du document s'achève par l’explication de sa conclusion, qui peut être close ou ouverte. Cela afin de situer ce document dans l'ensemble des documents du même type ou sur le même thème. On peut ajouter dans la présentation de la conclusion des considérations personnelles, en expliquant ce que l'on savait déjà de ce thème et quelles connaissances nouvelles apporte ce document.

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Cette méthode vaut pour tout document, il faut simplement y apporter quelques aménagements propres à chaque type de document.

Un document statistique

Pour analyser un document statistique, il faut adapter la méthode supra en déterminant quels sont les moyens utilisés pour présenter l'information et quelles sont les données présentées (statistiques, pourcentages ou fractions). Il faut ensuite montrer quelles données sont concordantes et quelles données sont en rupture avec les autres. Pour « faire parler le document », il faut essayer d’en proposer une analyse statique ou dynamique, synchronique ou diachronique. Enfin, on conclut l'analyse en montrant en quoi la représentation graphique apporte un avantage argumentatif.

Un document pictural

Un document pictural obéit aux mêmes exigences que les autres documents, mais il faut en plus expliquer le cadre et le décor pour définir la signification symbolique du document. On conclut l'analyse en faisant la part de ce qui est objectif et de ce qui relève du code culturel.

Une carte

Comme pour un document statistique, l'analyse d'une carte commence par la définition des symboles représentés et leur signification. Dans l'analyse de la carte, il faut rapporter toutes les informations contenues selon le double point de vue de l'espace et du temps, c'est-à-dire essayer de déterminer quels facteurs ont façonné la situation actuelle et comment cette situation va évoluer en fonction des facteurs spatio-temporels.

Un document audiovisuel

A l’inverse des documents précédents, qualifiés de médias froids (parce qu'entre la perception du document et son interprétation, il y a un temps pour la réflexion), les documents audiovisuels sont dits médias chauds, parce que la perception et l'interprétation du message sont simultanées. Par conséquent, les médias chauds sont à la fois plus divertissants et plus difficilement compréhensibles.

Il est donc toujours nécessaire de prendre des notes pendant que l'on écoute ou que l'on voit un document audiovisuel. S'il y a plusieurs locuteurs, il faut analyser le ton, le style et les idées avancées par les intervenants. Il est important de déterminer si la structure temporelle du document est rendue brute ou si le document est monté. Le montage du document sous-tend toujours un point de vue argumentatif précis. Pour un document vidéo, il faut à la fois analyser l'image et le son et rendre compte de ce que signifient l'un et l'autre. Les incrustations visuelles, telles que logos ou titres conditionnent la portée communicative du document, il faut toujours les analyser en montrant quelle est leur portée argumentative. De même, pour un document vidéo, il est important d'analyser simultanément les images et la bande-son. En effet, la réception passive d'un média chaud induit de manière erronée un lien entre le discours et les images. Mais le discours est construit a posteriori et les images ont pour fonction d'illustrer le disours, c'est-à-dire la thèse de l'auteur. Un document vidéo est le lieu par excellence de la désinformation et de la propagande. Il faut analyser strictement ce qui est à l'image, tout aussi strictement ce qui est contenu dans le discours, pour déterminer quelle est la thèse du document et quel en est le but argumentatif. Pour finir l'analyse d'un document vidéo, on peut préciser quel avantage argumentatif apporte la forme audiovisuelle par rapport à une forme textuelle ou graphique.

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Exercices types :

Le résumé

Des trois exercices types proposés aux épreuves de langue française du DELF et du DALF, le résumé est celui qui tend à rendre le plus fidélement compte du document. Il consiste à présenter le document dans son ensemble sans ajouter aucune opinion ou remarque personnelle. S'il s'agit d'un texte, il faut le réduire à un dixième environ. En respectant la structure du document, on reformulera toutes les idées-clés. On mentionne tous les noms propres, toutes les citations, et toutes les données telles que dates ou statistiques. Dans cet exercice, comme dans les suivants, il faut bien faire attention de ne pas paraphraser le texte, mais plutôt de le reformuler.

Le compte-rendu

Le compte-rendu est un résumé simplifié auquel on adjoint des commentaires que l'on veut objectifs et qui précisent les idées du texte ou qui replacent le texte dans l'ensemble des documents du même type ou sur le même thème, afin d'en mesurer la pertinence et la portée. Le compte-rendu doit, lui aussi, faire un dixième du document original, en respecter la structure générale, mais pas obligatoirement les sous-structures. Il ne faut garder dans le compte-rendu que les éléments, citations ou autres données qui sont les plus importantes. A chaque opinion avancée dans le texte, on joint un commentaire. On conclue cet exercice en précisant l'intérêt informatif ou incitatif du document et en faisant une ouverture soit vers d'autres aspects du thème du document, soit vers des thèmes connexes.

La synthèse

Proposée lors du concours d'entrée à de nombreuses écoles supérieures, la synthèse est, des trois exercices, le plus difficile. Il s'agit en effet de rendre compte le plus succinctement possible d'un document en en synthétisant les idées-clés en fonction d'une thèse donnée. Dans cet exercice, on ne rapporte pas la structure du document, ni aucune citation, on se contente, avec le plus d'acuité possible, d'expliquer ce que ce document apporte au thème que nous étudions.

Synthèse thématique :

Les synthèses thématiques proposées dans ce recueil ne se conçoivent que consécutivement à, d'une part, l'analyse des documents et, d'autre part, une recherche personnelle d'informations complémentaires. Elles ont pour but premier d'exercer la pratique orale ou écrite de la langue française. Mais leur objectif majeur est de développer la capacité à penser et argumenter dans une langue étrangère.

La première étape de la synthèse consiste à rapporter brièvement le contenu de chaque document. On présente ensuite quels faits ou idées nouvelles apportent ces documents.

Puis on formule véritablement la synthèse. En choisissant un point de vue ou une thèse, on développe une argumentation visant à en prouver la validité ou la fausseté.

Enfin, soit on propose une ouverture sur l’actualité récente, soit on esquisse d’autre points de vue sur ce sujet.

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Sources

Politique

Site Internet d'analyses et d'actualités politiques www.politique.net

Wikipedia

L'encyclopédie mondiale libre et ouverte

http://fr.wikipedia.org

Le Monde diplomatique

Le mensuel politique, social et diplomatique de référence www.monde-diplomatique.fr

Presidentielle2007

Le site Internet de la campagne présidentielle de 2007 www.presidentielle-2007.net

Le Monde

Un des principaux quotidiens français du soir

www.lemonde.fr

L'Université polytechnique de Californie à Pomona

Nombreuses ressources en langue française en libre accès www.csupomona.edu

Libération

Un des principaux quotidiens français du matin www.liberation.fr

Reuters

Une des plus importantes agences de presse mondiales http://fr.today.reuters.com

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France télévisions, France 2, France 3, France 5

Le groupe audiovisuel regroupant les télévisions d'Etat www.francetelevisions.fr

Hachette

Un des plus grands groupes d'éditions français

www.hachette.com

M6

La sixième chaine télévisée hertzienne française, privée www.m6.fr

Mondialisation

Site Internet canadien d'analyses politiques et stratégiques www.mondialisation.ca

RIA Novosti

La plus accessible au grand public des agences de presse russes

www.rian.ru

Éditions Montparnasse

Éditeur et producteur français de programmes audiovisuels www.editionsmontparnasse.fr

IRIS

Institut français de relations internationales et stratégiques www.iris-france.org

Département de l'information des Nations Unies

Les textes officiels et l'actualité des agences de l'ONU www.un.org/french

Réseau Voltaire

Réseau international de presse non alignée

www.voltairenet.org

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