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Миньяр-Белоручев Курс устного перевода

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* OpaBHTenbcTBo ManbTbl HaMepeBaeTcj( 3anpeTHTb BH3HTbl BoeHHblX Kopa6neH CillA Ha OCTpOB. OonaralOT, lITO :no HaMepeHHe BbI3BaHO He,noCToHHbIM nOBe.neHHeM H 6ecllHHCTBOM aMepHKaHCKHX MOpj(KOB Ha 6epery.

§7. Traduisez et retenez:

L'an 2000 avant J.-C. Le Comité des Vingt-Quatre. 2,3 millions. Plus d'un million de dollars. 3° au-dessous de zéro . M heures. Midi. 0 h 30. 1 pl 00. Divisé par 4. Par 8 voix contre zéro avec une abstention, le projet de résolution est adopté. Carte au 80000-ème l'échelle de 1:80000-ème) Dans la nuit du 23 au 24 juillet. L'année scolaire 1994/95. L'exercice 1998/99. Les années 60. Le XX-e siècle. L'Amérique du Sud. La collaboration entre l'Est et l'Ouest. Les événements se sont produits dans le Nord . L'Office des Nations Unies à Genève. La Chambre des communes.

(On ne peut pas écrire: 2 3000000, 12 heures, 1% etc.)

B napazpape Oallbl 06Pa:Jl{bl, npu/JRmblX /Ja nUCbMe 0603l1a-

'1eIlUU oam U lIeKomopblx npel{U3UOllllblX CJl06.

§8. IIo3meMllMu UaJbl6alOm MemaljJopbl u opyzue mponbl, xapaKmepuble OJlR n03mU'leCKUX npOUJ6eOeuuii. HaJ06Ume n03meMbi 6 cmuxom60peuuu II. BepJleua "Chanson d'automne" u nonpo6yiime nepeoamb ux no-pyccKU:

Chanson d'automne

Les sanglots longs

Des violons

De l'automne

Blessent mon coeur

D'une longueur

Monotone

Tout suffocant

Et blême, quand

Sonne l'heure

121

Je me souviens

Des jours anciens

Et je m'en vais

Au vent mauvais

Qui m'importe

Deçà, delà

Pareil à la

Feuille morte

§9. COeJlaume nucbMeHHblu nepe600 meKcma "Paul Verlaine":

Paul Verlaine

Le 30 mars 1844 naît à Metz, où le lieutenant Verlaine est en garnison, Paul-Marie Verlaine. Ce fils unique et choyé se révélant turbulent, on le met en pension. De justesse bachelier, il s'ennuie en faculté de droit, et trouve des emplois médiocres dans une compagnie d'assurance, puis de fonctionnaire à la ville de Paris. Attiré par la bohème et l'alcool, il fréquente déjà les cabarets et le Paris littéraire.

Fin 1866 paraissent à compte d'auteur, ses Poèmes saturniens, salués par Anatole France et Mallanné. En 1869, il se fiance avec Mathilde Mauté, une jeune fille de 16 ans, qu'il épouse l'année suivante, celle de la publication des Fêtes galantes.

Le 15 septembre 1871, il rencontre Arthur Rimbaud qui lui avait envoyé ses poèmes et qu'il avait fait venir de Charleville. Verlaine retrouve le chemin des cabarets. Ivre, il se querelle avec Mathilde qui lui met au monde un garçon. Rimbaud retourne à Charleville. Chez les Verlaine, c'est l'accalmie. Mais revoilà Rimbaud... Les deux amants errent en Belgique, puis à Londres, où la mère de Verlaine essaie de le ramenez dans le droit chemin.

Avec Rimbaud, il s'enivre, se dispute, se bat. Rimbaud, las de cette bohème, regagne Charleville. Verlaine le poursuit le supplie de reprendre leurs errances. Rimbaud refuse. Le 10 juillet 73, à Bruxelles, Verlaine tire sur Rimbaud avec un pistolet et le blesse

122

au bras. II est condamné à deux ans de prison, pendant lesquels il redécouvre sa foi chrétienne d'enfant. En 1882, il se réinstalle à Paris et "replonge" dans l'absinthe: sa femme a refusé de reprendre la vie commune avec lui, Rimbaud a disparu en Ethiopie... 11 vit dans les brasseries, entouré d'une cour de jeunes admirateurs, il est tragiquement seul. Tout ce qu'il reçoit pour ses articles et ses poèmes, il le boit. En 1894, il est élu "Prince des poètes" succédant à Laconte de Lile. C'est le premier hommage à son talent.

Le second viendra de la rue, lors de ses funérailles. Le Quartier Latin, dont il a fréquenté toutes les tavernes et tous les bouges sera noir de monde. Des milliers de Parisiens feront la haie, jusqu'au cimetière de Clichy, au sublime ivrogne qui incarne la Poésie et entre dans la légende des poètes maudits. Il est mort la vielle le 9 janvier 1896, à l'hôpital Broussais d'une congestion pulmonaire.

§10. KOHmpOJlbHblU napazpaljJ.

a)Quelle est la hiérarchie des ecclésiastique de l'église catholique?

b)Quelle est la règle de l'emploi des noms des pays avec les pronoms "en" et "à"? (Par ex., en France, au Gabon)

c)Qui ont été élus "Prince des poètes" de la deuxième moitié du XX-e siècle?

CnpaBOQHLIH pa3,lJ.eJl

1) • rnaronbl "influencer" H"influer" jJBmllOTCjJ CHHoHHMaMH, HO O.uHH H3 HHX (influencer) npe.ucTaBnSleT C060H nepexo.uHblH rnaron, a nOToMy ynoTPe6njJeTcjJ 6e3 npe.unora (influencer les hommes politiques de son époque), a .upyroH - TPe6yeT npe.unora "sur" (le gouvernement et la religion influent sur l'esprit des hommes).

• CnOBO «.ueno» Ha 4>paHu.y3cKHH jJ3blK nepeBo.uHTcjJ Heo.uHo3HaQHo. ,L(eno KaK 3a.uaQa, CTOjJ~M nepe.u 06llJ,eCTBoM: - .ueno 3allJ,HTbl MHpa jJBnSleTCjJ 06llJ,HM .uenoM - la cause de la paix c'est une cause commune. ,L(eno KaK npo.uyKT TBOpQeCTBa, KaK .uejJHHe: - 3TO .ueno BceH ero )IŒ3HH - c'est l'oeuvre de toute sa vie.

123

)J.eJlo KaK KOHKpeTHru! 3a,naIJa: - :no MOe .n.eJlo - .n.eJlo IJeCTH

-c'estmon affaire -l'affaired'honneur.

)J.eJlo KaK IOpH.n.HIJeCKru! np06J1eMa: -

.n.eJlo )J.pew<I>yca

l'affaireDreyfus. )J.eJlo KaK .n.eHcTBHSI: -

nepewTH

K .n.eJly

passer a l'acte.

 

 

)J.eJlo KaK nOJlO)f(eHHe BelUeH: - cTPaHHoe .n.eJlo -

une chose

singulière. Bo MHOrHX yCTOWIJHBhIX CJlOBOCOlJeTaHHSlX CJlOBO .n.eJlo TepSleT caMOCTOSlTeJlhHOCTh H He nepeBo.n.HTCSI: B caMOM .n.eJle - en effet, nepBhIM .n.eJlOM - avant tout, 3a 3THM .n.eJlo He CTaHeT - qu'acela ne tienne.

2) Ynp3)f(HeHHe CJlO)f(HOe ay.n.HpoBaHHe yCJlO)f(HSleTcSI. npH npocJlyuIHBaHHH TeKCTa CIJeT npOH3Bo.n.HTCSI Ha <l>paHlJ.y3cKOM S13hIKe. CIJHTaTb Hy)f(HO rpOMKO, c06J11O.n.ru! npl1HSlThIW nopSl.n.OK. npeno.n.aBaTeJlIO CJle.n.yeT OpraHI130BaTh KOHTpOJlh 3a C'-IeTOM yIJalUHXCSI, IJTO JlerlJe Bcero c.n.eJlaTh B JlHHra<l>oHHoM Ka611HeTe: yIJalUHecSi nOJlyIJalOT TeKCT '-Iepe3HaylllHHKH C MarHHTo<l>OHa npeno.n.aBaTeJlSl, a npeno.n.aBaTeJlh no.n.KJIIOIJaeTCSI nOOIJepe.n.Ho B Ka6HHbI y'-lalIJ.HXCSI(6e3 HX se.n.OMa) C ueJlhlO KOHTpOJlSl.

YPOK 17

§l. lIpopa6omaume CllMOCmORmeJlbHO o6U(ecm6eH- HO-nOJlUmUIIeCKUe nOI;lRmUR U Haudume tPpaH~3cKue 3K6U6aJleHmbl CJledylOU(ux mepMUH06 U 6blpa:HCeHuu:

Cnoco6CTBOBaTh pa3BHTHIO ToprOBnH; napnaMeHTCKru! HenpHKOCHOBeHHOCTh; BCT)'nneHHe B .QomKHOCTh; HcnonHeHHe CBOHX o6~3aHHocTeH, O.QHonanaTHhIH napnaMeHT.

Zone franche - territoire, généralement peu étendu bénéficiant d'un statut douanier ou fiscal privilégié , dans le but de promouvoir le commerce et la transformation des produits venant d'extérieur .

Lettre (f.) de créance - acte authentique par lequel un agent diplomatique est désigné comme représentant de l'Etat auprès d'un autre Etat et qui doit être remis au chef de cet Etat par l'agent lors de son arrivée en fonctions.

lnviolabilité f. parlementaire - protection des parlementaires contre les poursuites judiciaires pour les crimes et délits commis en dehors de l'exercice de leurs fonctions. Elle peut être levée par l'assemblée à laquelle appartient le parlementaire.

Démocratie f. - gouvernement du peuple par peuple pour le peuple . Ce terme postule une identification totale entre gouvernés et gouvernants; les citoyens "étant tour à tour gouvernés et gouvernants" (Aristote). Né dans la Grèce Antique, le régime démocratique est aujourd'hui l'idéal vers lequel tendent la plupart des peuples. Mais le caractère idéal de cette notion rend difficile sa mise en pratique et explique que la plupart des régimes politiques qui s'en réclament n'en soient qu'une approximation .

Koweït m. - Etat du golfe persique, 930000 habitants, capitale AI-Koweït. Le Koweït constitue une partie de l'Empire Ottoman, devenu protectorat britannique en 1899 et indépendante le 19 juin 1961; le Koweït est une monarchie parlementaire, monocamérale

125

et héréditaire fondée sur la souveraineté populaire; le Koweït possède d'importantes ressources pétrolières .

lloCJle npopa6omKu meKcma 6 KJlacce coe.naume nucbMellIIb'U nepe600 OOMa.

§2. IIoJHaKoMbmecb C pa:mUIIHbI.MU py6pUKllMU fjJpaHuyJCKUX ZQJem, lIaCmR.MU meKCma KHUZU, Haüoume UX pyccKue 3K6U6aJleHmbl:

Article m. de fond - article qui discute une question importante présentant le point de vue de journal.

Editorial m. - article de première page qui est rédigé par direction du journal.

Essai m. - article de critique présentant sous une forme relativement courte un aspect particulier d'une question.

Chronique f. - article qui passe en revue périodiquement, dans un journal, un ordre particulier de nouvelles.

Echo m. - bref article sous forme d' allusion, évoquant un événement mondain, littéraire, politique etc., parfois avec une intention satirique.

Feuilleton m. - article, ordinairement au bas des pages, sur des sujets de littérature, de critique, de science, de beaux arts, etc.

Reportage m. - article dans lequel un journaliste, dit reporter, donne le résultat d'une enquête personnelle sur des événements d'actualité.

Partie f. - désigne toute division importante et qui liée aux autres, fait un ensemble.

Chapitre m. - subdivision formant un tout dans un livre. Article m. - subdivision d'un chapitre dans un traité, un con-

trat.

Paragraphe m. - subdivision d'un chapitre s'il n'est pas divisé en articles.

Alinéa - une ou quelques phrases formant un groupe avant ou après lequel on va à la ligne.

126

§3. llepe6eoumeycmHo Ha CJlyx 6 6blCOKOM me.Mne:

 

npO.D.On)l(aTb npoBo,nHTb nonHTHKy MHpa -

npO.D.On)l(aTb Bbl-

cTynneHHe -

npo,non)l(aTb Tpa,nHUHIO -

npO.D.On)l(aTb 3ace,naHHe

-

prolonger la séance

-

la séance

dure 2 heures -

 

npo,non-

)l(HTb pa60Ty -

suivre la tradition -

poursuivre la politique de

paix -

continuer son intervention -

la question d'uneurgence

extrême

-

Bonpoc nepBOO'lepe.D.HOH Ba)l(HOCTH

-

faire

une

proposition -

retirer sa proposition -

CHHMaTb cBoe npe.D.J1o)l(e-

HHe

-

déposer

un amendement -

BHOCHTb

nonpaBKy

-

soulever une objection de principe -

Bbl,nBHraTb npHHUHnHMb-

Hoe

B03pa)l(eHHe -

c,neJlaTb npe.D.nO)l(eHHe -

prendre

position

pour

une proposition -

BbICKa3bIBaTbC$[

npoTHB

npe.D.nO)l(eHH$[

-

parler du haut de la tribuns -

parler de la part de... -

BbICTy-

naTb OT HMeHH -

 

présenter une motion d'ordre-

BblCTynaTb no

nop$[.D.KY Be,neHH$[ 3ace,naHH$[ -

prendre la parole -

le discours

de clôture -

3aKJlIO'lHTeJlbHa$[pe% -

lever la séance -

3aKpbl-

BaTb

3aCe.D.aHHe

-

parler

au micro -

BblcTynaTb no nop$[.D.KY

Be.D.eHH$[ 3aCe.D.aHH$[ -

3aKJlIO'lHTeJlbHa$[ pe'lb-

rOBopHTb C

TpH6yHbl -

suivre la tradition - les suffrages exprimés -

no-

,naHHble rOJloca - se désister en faveur de... -

OTKa3blBaTbC$[ B

nOJlb3y -

le bulletin nul -

tenir séance -

3aCe.D.aTb -

 

retirer la

parole -

J1HlllaTb CJlOBa -

passer outre

à une objection -

He

npHHHMaTb

BO

BHHMaHHe

B03pa)l(eHHe -

le

débat

général

-

06LU~ .D.HCKyCCH$[ - annoncer une suspension de séance - 06b-

$[BHTb nepepblB - limiter le temps de parole -

yCTaHaBnHBaTb

pernaMeHT -

no,naHHble ronoca -

rOBopHTb B MHKpO<pOH -

06bS1BJI$[Tb nepepblB -

Bonpoc

nepBOO'lepe.D.HOHBa)I(HOCTH -

BHOCHTb nonpaBKy -

déposer

un amendement -

Bbl.D.BHraTb

npe,nnO)l(eHHe -

ajourner la séance -

OTKna,nblBaTb 3ace,naHHe

- donner la réplique -

nO.D.aBaTb penJlHKy -

npe3H,nHyM co-

BeLUaHH$[ - MaH,naTHa$[ KOMHCCH$[ -

être excusé -

He npHcyT-

CTBOBaTb no YBa)I(HTenbHOH npH'lHHe.

 

 

127

JlCume :Jmu CJl06a mal<, 'lm06bl cyU(ecm6ylOU(aR MeJICi)y HUMU

C6R3b He mepRJlaCb:

HanpHMep:

UNESCO ~3 npo<pcolO3a I1TaJlHH: pa60TalOI..UHe ,neTH.

Ha OCH06aHUU ci)eJlaHHbLX 3anuceu 6ocnpou36ei)ume mel<cm

Ha tjJpaHl(J!3CI<OM R3bll<e.

§5. lloozom06bme lia tjJpalllQ'3CKOM R3blKe pe'lb, OmmaJlKU6aRCb om CJleoylOUI,UX onopllblX nyllKmo6 naMRmu:

Le Comité national des écrivains ...

une protestation ...

la déten-

tion du grand poète ... l'étatde

santé

... des

vives inquiétudes ...

l 'hospitalisation ...

les oeuvres ...

l'humanitétout entière ...

les so-

ins indispensables

... les garanties morales ...

les autorités

... la re-

sponsabilité ...

l'issuede la maladie...

 

 

 

§6. llo6mopume CUlIXpOllllO Clla'laJla pyccKuii, a nomOM tjJpalllQ'3CKUii meKcmbl, nOCJle 'lezo nepe6eoume ux C JlUcma:

9-10 ceHnt6pSl c.r. COCTOSlJlCSI Me)l()\yHapo,nHbüt <pOpyM MOJlO- ,ne)f(H H cTy,neHToB, B pa60Te KOToporo npHHSlJlH y'laCTHenpe,n- CTaBHTeJlH 145 Hau.HOHaJlbHbIX, 13 Me)l()\yHapo,nHblX H pemoHaJlbHblX opraHH3aUHH pa3JlH'lHOHnOJlHTH'leCKOHopHeHTaUHH H3

103 CTpaH MHpa.

B xo,ne pa60Tbl <popyMa HMeJl MeCTO oTKpoBeHHbIH 06MeH MHeHHSlMH no caMblM pa3JlH'lHbIM np06JleMaM cOBpeMeHHoH )f(H:iHH.

<I>OpyM 06paTHJlCSI C npH3bIBoM K MOJlo,ne)f(H H cTy,neHTaM aKTHBHO pa3BepTbIBaTb aKUHH COJlH,napHocTH C 60pb60H Hapo,nOB H MOJlo,ne)f(H 3a cB060,ny H HaUHoHaJlbHylO He3aBHCHMOCTb, 3a npaBO HMeTb CBOIO pO,nHHy, 3a HCKopeHeHHe arpeccHeH H 3KcnaHCHOHH3Ma, Bpa)f(,ne6Horo rocno,nCTBa H HHoCTpaHHoH oKKynaUHH, Bcex npOSlBJleHHH HepaBHonpaBHSI, ,nHKTaTa, 3KCnJlyaTaUHH B Me)l()\yHapo,nHbIX 3KOHOMH'leCKHXOTHOllIeHHSlX, 3a ,neMoKpa-

S- MHHb"p-5enopy'.eH

129

nua If coumUIbHblH nporpecc. B :nOH CBR31f y'lacTHIfKIfQ>opYMa C 60JlblllOH 3alfHTepeCOBaHHOCTbIO OTHeCJlIfCb K npe.lVlO)l(eHlf1O 0 npOBe,neHIfIf paJJlIf'lHbIXMe)l(,nyHapo,nHbIX MeponplfSlHIH MOJlO- ,ne)l(1f If cry,neHTOB no np06J1eMaM paJBIfTIfSi If nepeCTpOHKIi Me- )I(,nyHapo,nHblX 3KOHOMIf'leCKIfXOTHOllleHIfH Ha paBHonpaBHOH li cnpaBe,nJlIiBOH OCHOBe. OHIi ClJlfTalOT ce6S1 06S13aHHb1MIi BHeCTIi CBOH Henocpe,nCTBeHHblH BKJla,n B 60pb6y npOTIiB roJlo,na If HIfmeTbI.

<l>OpyM nplf3bIBaeT MOJlo,ne)l(b If cry,neHToB YMHO)l(lfTb CBOIf ,neHCTBIfR B 60pb6e 3a pellleHlfe COUliaJIbHO-3KOHOMlilJeCKIiX npo6J1eM no,npacTalOll(erO nOKOJleHIfSl, 06paJoBaHIiR, 3,npaBooxpaHeHIfSi ,neTeH li no,npocTKOB, J1HKBH,naUIfIO UIiHlflJHOH 3KcnJlyaTaumi ,neTcKoro Tpy,na. YlJaCTHIfKIf 4>opyMa nplf,nalOT B~Hoe 3HalJeHlfe BocnlfTaHlf1O li o6ylJeHliIO no,npacTalOmero nOKOJleHIiSi B ,nyxe Mlipa If B3aIiMonOHIiMaHIiSl, ,nPY)l(6bl If yB~eHIiSi K ,npyrliM Hapo- ,naM, HenpliMlipliMOCTH K J1106b1M npOSlBJleHIiSiM HeCnpaBe.lVlIiBOCTIf. Ha ocymeCTBJleHlie 3TliX 6J1aropo,nHbIX 3a,nalJ ,nOJl)l(Ha 6blTb HanpaBJleHa pa60Ta MOJlo,ne)l(HblX opraHli3aUIiH, COlO30B ,neTeH li no,npocTKOB. <l>OpyM BblcrynaeT npoTIiB IiMelOmeHcSI B pSl,ne cTpaH npaKTIfKIi IiCnOJlb30BaHlfSi y'le6HblxnporpaMM, cpe,ncTB MaccoBoH IiH4>OpMaUIiIi li ,npymx KaHaJIOB .lVISi nponaraH,nbl BOHHbl, MIiJlIf-

Tapli3Ma, HaCIiJiIiSi li pacoBoH Henp1iSl3HIi.

• Les 9 et 10 septembre dernier a eu lieu un Forum international des jeunes et des étudiants aux travaux du quel ont pris part des représentants de 145 organisations nationales, de 13 organisations internationales et régionales à orientations politiques dif-

férentes de 103 pays du monde.

Lors des travaux du forum on a procédé à un échange franc de

points de vue sur différents problèmes actuels.

Le forum invite tous les jeunes et les étudiants à développer activement des manifestations de solidarité avec la lutte que livrent les peuples et des jeunes pour la liberté et l'indépendancenationale, peur le droit d'avoirleur Patrie, pour mettre fin à la politique honteuse du racisme et de l'apartheid,pour la liquidation des conséquences des agressions et de l'expansionnisme,de la domination

130 5-2