9. Mon écrivain préféré.

La littérature est un genre d’art qui comprend la littérature classique et la littérature moderne.La littérature comme d’autres genres d’art reflète la vie de l’homme. Elle aide à enrichir le monde intérieur de l’homme, à former sa personnalité. Chaque oeuvre littéraire donne quelque chose au lecteur, mais un bon livre reste pour toujours dans la mémoire du lecteur, le fait réfléchir sur ce qui se passe autour de lui. La littérature française est riche en auteur célèbres qui occupent une place importante dans la littérature classique mondiale. Ce sont V. Hugo, Stendhal, O. de Balzac, A. Dumas, E. Zola, G. de Maupassant et beaucoup d’autres.

Le livre est l’ami le plus ancien et le plus fidèle de l’homme. Il l’a toujours accompagné. Le livre existait il y a déjà quelques millénaires. On écrivait sur les plaques d’argile, sur les papirus. Les livres conservent les connaissances acquises par l’humanité, c’est la mémoire de l’humanité.Les époques se succédaient mais le livre restait toujours le moyen universel de transmettre les connaissances d’une génération à une autre.

Quand on lit on fait travailler l’esprit, on s’imagine tout ce qui se passe. Quand on regarde un film on reste un spectateur passif. Le cerveau ne fait que percevoir. La télé est plutôt une distraction tandis que la lecture incite à réfléchir, forme l’esprit, développe la mémoire, enrichit le language, améliore les connaissances de la langue maternelle et étrangère. Un bon livre est plus qu’un objet. On peut le comparer à un être vivant qui possède l’âme. Lire un livre c’est comparable à connaître une personne. L’ordinateur est une machine sans âme, une machine intelligente, un serviteur docile s’il on sait s’en servir.

La lecture, c’est la paix, le silence, la reflexion avec des parsonnages fictifs ou historiques. Je ne crois pas que le livre soit jamais menacé, car il restera toujours un des moyens les plus agréables d’échapper à ce monde d’angoisse.Il est un antidote contre le tohu-bohu médiatique et le vacarme de la vie. Et je me demande si cet hommage rendu au livre n’exprime pas le regret des heures perdues devant la télévision et dans le transport en commun.

J’aime lire. Je lis des livres différents. Je peux dire que la lecture c’est ma passion. Si j’ai une minute libre, je prends un livre.

De nos jours les gens lisent de moins en moins. C’est dommage! Parce que les livres sont l’une des premières sources de connaissances.

A la maison j’ai beaucoup de livres en russe et en biélorusse. Malheureusement pas en français. Je ne lis pas les oeuvres des auteurs français en version originale. C’est encore difficile pour moi. Je les lis adaptées ou en version russe. Si je veux trouver et lire un nouveau livre que je n’ai pas chez moi, je l’emprunte à la bibliothèque où je me suis abonnée.

Dans la littérature de chaque pays il y a des noms connus de tout le monde, tels que: Dickens, Twain, Hugo, Balzac, Pouchekine, Koupala et d’autres. Je lis de la littérature classique et ce qui m’attire surtout ce sont les oeuvres de Jules Verne. J’adore les avantures, les poursuites, toutes sortes de voyages et à la fin – les happy ends. Ce qui n’est pas le cas de Yanka Koupala. C’est une perle dans la littérature biélorusse qui à travers ces oeuvres nous donne de la nouriture spirituelle en décrivant les gens tels qu’ils sont, en esquissant leurs portraits morals non sans défauts. Plus romantique que le réaliste il était un vrai psychologue, un médecin qui soigne nos âmes et qui et le plus proche de son peuple, de ses souffrances.

Mon écrivain biélorusse. Yanka Koupala

Yanka Koupala (1882-1942) est un des sommets de la poésie biélorusse. Pas seulement grâce à son génie, mais aussi parce que, comme Bogouchévitch, il a toujours été avec le peuple, il a pleinement exprimé le caractère, l'âme, les voeux de ce peuple; il est sorti de ce peuple et il y est retourné avec tout son oeuvre.

Le principale de ce qui a influencé l'oeuvre de Koupala, c'est la chanson populaire biélorusse, les légendes, la vie réelle de la Biélorussie. Son premier vers - «Le paysan» -représente le programme de toute sa vie. Son premier recueil - «La flûte» - est véridique et tragique à la fois; c'est pour cela qu'il est interdit par le pouvoir. Un amour profond pour le peuple caractérise le poète et tout son oeuvre. On le voit dans la poème «Le Kourgan» et dans une de ses oeuvres la plus slave, d'une audacieuse gaîté «Pavlinka».

Koupala après Bogouchévitch a réalisé une des choses les plus importantes: il a ajouté un jet d'eau pure à la source de la poésie populaire.

Mon écrivain français

Parmi les auteurs français que j’ai lus je voudrais signaler Marcel Pagnol, dramaturge et romancier célèbre qui est né en 1895 en Provence. Comme son père, il devient professeur et puis, en 1915 il finit ses études à la faculté des lettres d’Aix- en Provence. Il commence à écrire pour le théâtre. Marcel Pagnol excelle en dialogue. Cela lui permet de porter à l’écran les oeuvres littéraires. En 1946 Marcel Pagnol est élu à l’Académie française. En 1957 l’écrivain se tourne vers le roman. Il publie tour à tour les charmants volumes de ses « Souvenirs d’enfance » : « La Gloire de mon père », « Le Château de ma mère » et « Le Temps des secrets ».

J’ai lu « La Gloire de mon père » en version adaptée. C’est un charmant livre autobiographique. Je l’ai lu avec un grand plaisir. Un style harmonnieux, une délicate ironie, une étonnante connaissancedu coeur humain classent cette oeuvre parmi les meilleurs livres de ce genre.