Раздел 7
Место фразеологических единиц в тексте и выполняемые ими функции
Фразеологическая единица, введенная в контекст, имеет определенную текстовую значимость. Под текстовой значимостью ФЕ понимается «совокупность функций, выполняемых ФЕ в масштабе текста как относительно завершенного произведения» (Райхштейн, 1980, с. 42).
Строго фиксированной позиции ФЕ в тексте не существует. Контекст может быть организован любым образом, при этом ФЕ находится в той позиции, которую определяет автор текста, руководствуясь поставленной перед собой целью и частными задачами, необходимыми для достижения этой цели. Один из возможных вариантов применения ФЕ в прессе – использование ее в качестве комментария прилагающейся к статье фотографии, которая комментирует содержание самой статьи и вводящей массового читателя в курс дела. ФЕ способна также представлять собой заголовок статьи, подзаголовок какой-либо ее части, абзаца, вводить новую мысль и последующий комментарий последней. Наконец, ФЕ может вводиться в сам корпус статьи, являясь при этом либо частью предложения, либо самостоятельным предложением, либо заключением, последним предложением абзаца или даже всей статьи. Позиционный фактор «определяет участие ФЕ в формировании и развертывание тематического плана контекста и его семантики» [Каргина, 1997, с. 83].
В начальной позиции ФЕ выполняет функцию «вступления», вводит тему лингвистической и экстралингвистической ситуации. ФЕ, являясь как бы семантическим ядром текста, представляет собой часть сообщения, концентрирующую главную идею готовящегося развернуться контекста (Москальская, 1979, с. 9).
В срединной позиции ФЕ предшествует изменению темы, введению в контекст новых действий, участников действий, событий, играя при этом роль связующего звена. Она также может маркировать переход от изложения объективной информации к ее комментированию, оценке автором статьи. На этот немаловажный факт обращает внимание А.И. Кунин: «Контекст, содержащий ФЕ в серединной позиции, характеризуется экспрессивностью, которая обусловлена образностью, интенсивностью или эмотивностью» (Кунин, 1986, с. 152).
ФЕ может находиться и в конечной позиции. При этом возможны два варианта. В первом случае ФЕ представляет собой комментарий вышеизложенного контекста, завершение главной мысли. Во втором случае ФЕ также завершает повествование и появляется лишь в конечной позиции, но в отличие от простого комментария является апогеем мысли автора статьи, завершает образное развитие контекста, который заканчивается не менее образно. Здесь ФЕ выступает в роли самостоятельного микроконтекста с прагматической установкой, сближаясь по функции с пословицей, выражает глубокую мораль в строгой, краткой и понятной всем говорящим на данном языке форме.
Рекомендуемая литература
1.Гальперин И.Р. Текст как объект лингвистического исследования. – М., 1981.
2.Каргина Т.Д. К вопросу о контекстуальной роли фразеологических единиц. // Актуальные проблемы лингвистики и лингводидактики. Межвуз. сб. науч. тр. Вып. 1. – Красноярск, КГПУ, 1997.
3.Кунин А.В. Фразеологические единицы и контекст. – М., 1986. – С. 152
4.Москальская О.И. Текст как лингвистическое понятие //ИЯШ, вып. 3. –М., 1978.
5.Райхштейн А.Д.Сопоставительный анализ немецкой и русской фразеологии. – М., 1980.
Exercices
1.Проанализаруйте функционирование ФЕ вначальной позиции в качеств еподзаголовка части статьи либ окомментария к фотографии. С какой целью ФЕ повторяется в тексте после подзаголовка?
L'Allemagne dément faire pression sur le Portugal. Pour limiter l'hémorragie, la Banque centrale européenne et une majorité de pays de la zone euro font pression sur le gouvernement portugais pour qu'il sollicite à son tour une aide européenne, croit savoir le Financial Times Deutschland. Ce vendredi matin, le ministère des Finances allemand a toutefois démenti cette démarche, un porte-parole affirmant que ce n'était «pas du tout la position de la maison».
Grandes ambitions, petites manœuvres, clivage entre aile gauche et réformistes: les socialiste sont entré de plain-pied dans la campagne des primaires. Crédits photo: Sébastien SORIANO/Le Figaro
«Obama joue avec le feu» pour les Républicains. Le son est tout autre côté républicain. «Ce verdict tragique démontre la folie totale de l'administration Obama qui veut juger des terroristes d'al-Qaida devant des tribunaux civils», a dénoncé Peter King. Le député de la Chambre des Représentants a fait de l'arrêt des transfèrements des détenus de Guantanamo sur le sol des Etats-Unis une priorité. «Obama a joué avec le feu, en temps de guerre. Il faut terminer cette expérimentation et revenir aux juridictions militaires de Guantanamo que le Congrès a autorisées», a plaidé la lobbyiste Liz Cheney, fille de l'ancien vice-président de George W.Bush.
«Rien de nouveau sous le soleil». Du côté de Martine Aubry, on s'efforce de dégonfler l'affaire de l'accord.«Rien de nouveau sous le soleil», jure-t-on. Tout juste précise-t-on qu'en lieu et place de pacte, il s'agit avant tout «d'une démarche politique» entre Aubry et Strauss-Kahn, qui ne seront pas candidats l'un contre l'autre. «Le mot “accord” nous gêne: il ne s'agit pas d'un accord où l'un serait candidat et l'autre serait premier ministre par exemple», dit un proche de la première secrétaire.
«Déposer les armes». En 1998, le «boss» avait pris le pouvoir à la tête du redoutable clan des Casalesi. Il avait un sens inné des affaires, possédant des discothèques et des commerces à Rome, et avait tissé un réseau serré d'entreprises mafieuses dans le Nord, s'accaparant les marchés publics dans le secteur de la construction. Fort de ce succès, Roberto Maroni a voulu apaiser la polémique qui l'oppose à Roberto Saviano, lui proposant de «déposer les armes qu'il a prises contre la Ligue du Nord» -dont lui-même fait partie. Mardi, lors d'une émission de la RAI suivie par neuf millions de téléspectateurs, Roberto Saviano avait accusé la Ligue d'être «infiltrée» par la Ndrangheta calabraise. Il en voulait pour preuve une instruction judiciaire ouverte contre un conseiller régional de la Ligue, Angelo Ciocca, pris en photo avec le responsable de la Ndrangheta pour la Lombardie, un certain Pino Neri. Quelque 500 mafieux d'une douzaine de familles calabraises différentes prospéreraient rien qu'en Lombardie.
Coup de théâtre. Le 1er novembre, en début de soirée, Amanda Knox se balade avec son petit ami de l'époque, Raffaele Sollecito, sur le corso Vannucci, la rue branchée de Pérouse. Alors qu'ils passent de bar en bar pour fêter Halloween, Meredith Kercher, elle, préfère regarder un DVD chez une amie anglaise avant de regagner son domicile, en centre ville. Coup de théâtre, la jeune Britannique est retrouvée vers 4 heures du matin dans son lit, enveloppée d'une couverture imbibée de sang et la gorge tranchée. Son corps, à moitié dénudé, est couvert d'ecchymoses.
Le domicile de Ségolène Royal mis à sac. L'appartement de l'ex candidate socialiste à l'Elysée Ségolène Royal à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) a été "visité" par effraction mercredi pour la troisième fois en quatre ans. Deux chambres et le bureau de l'appartement ont été "mis à sac", les tiroirs vidés et les objets personnels éparpillés, mais rien n'a été volé, a indiqué l'entourage de Mme Royal.
Le domicile à Boulogne de la présidente de Poitou-Charentes avait été mis à sac une première fois le 17 août 2006, alors qu'elle s'apprêtait à déclarer sa candidature aux primaires socialistes, puis le 28 juin 2008.
2.Проанализируйте функционирование ФЕ в серединной позиции. Являются ли выделенные ФЕ и актуализирующие их контекстуальный фрагменты оценочно маркированными? Аргументируйте свой ответ.
TF1 tâtonne ou Jean-Jacques Bourdin agace? Ce dernier ne s'en cache pas: son émission «Abus de confiance», diffusée le dimanche à 17h55 sur TF1, ne sera pas reconduite en janvier 2011, comme l'a révélé hier Le Parisien. Et le journaliste-animateur vedette de RMC et BFM est clair sur les raisons de cet arrêt: «Les audiences n'étaient pas suffisantes pour cette case et nous n'avons pas rempli la clause d'audience qui était fixée. La direction de l'antenne a pris la peine de m'appeler pour me l'expliquer, affirmant que mon travail n'était pas en cause et que la chaîne était prête à collaborer avec moi sur d'autres projets.»
BNP Paribas est l'un des premiers poids lourds à opérer la mue. Sa banque de détail n'a pas remis son agence, Publicis Conseil, en compétition mais a fait le choix d'un discours de rupture. Sa promesse, «Parlons vrai», assume frontalement le climat de soupçons qui pèse désormais sur les banques, dans la veine d'un slogan de 1995, resté célèbre au lendemain d'un scandale: «Crédit lyonnais, votre banque vous doit des comptes».
Des sacrifices d'autant plus nécessaires au sein de cette activité rachetée en 2003 à Vivendi que le groupe de Philippe Hersant doit, par ailleurs, faire face à une dette bancaire estimée à plus de 200 millions d'euros. GHM a, d'ailleurs, reconnu hier qu'il «a engagé une procédure de renégociation de sa dette bancaire et, pour cela, sollicité la désignation d'un mandataire ad hoc, ce qui lui a été accordé le 24 septembre» dernier. Une procédure qui doit lui permettre de «rétablir son équilibre», a-t-il insisté.
Tim Clark, le président d'Emirates, veut mettre les points sur les i. Répondant aux critiques, notamment à celles du président d'Air France Jean-Cyril Spinetta dans nos colonnes, il affirme que la croissance de sa compagnie repose sur sa seule stratégie commerciale.
Il faut noter que la Commission européenne est convaincue que nous ne bénéficions pas de subventions. Il y a vingt-cinq ans, quand nous avons fondé la compagnie, nous savions quelles étaient les règles. Si un seul euro de subvention était versé, je m'en irais le lendemain. C'est vrai qu'à la tête de la compagnie depuis sa création, je prends ces accusations personnellement. Mais tout cela ne m'empêche pas de dormir!
Nouveau coup de pouce pour le secteur automobile: ce sera la date de commande du véhicule qui servira de référence pour l'octroi du bonus écologique, et non plus la date de livraison, a annoncé ce mercredi sur RTLle ministre de l'Industrie Eric Besson. Commander sa voiture avant le 31 décembre permettra donc de bénéficier du bonus dans les conditions de 2010. Ce «coup de pouce» aux automobilistes coûterait «au moins 50 millions d'euros» à l'Etat, a précisé le ministre.
La remise en cause du contrat pourrait également être liée aux efforts budgétaires prévus par le gouvernement. Le ministère qui devrait rencontrer des difficultés à financer les mesures de modernisation prévue par le Livre blanc de 2008, pourrait vérifier que chaque composant du projet est bien indispensable.
«Nous n'avons jamais vu un groupe situé dans l'orbite d'al-Qaida publier, à peine quelques semaines après les faits, un compte rendu aussi détaillé sur sa philosophie et ses intentions», réagit Ben Venzke, le directeur d'Intelcenter, un centre de surveillance des sites islamistes. Pour les experts américains, trois hommes seraient à l'origine de cette opération: l'opérationnel saoudien Ibrahim al-Assiri, expert en explosifs qui aurait fabriqué la pentrite dissimulé dans les colis, le communicant Samir Khan, un Américain de Caroline du Nord réfugié au Yémen en 2009 et vraisemblablement Anwar al-Awlaqi, ce prédicateur américain d'origine yéménite dont la têtea été mise à prix par Washington, mais qui est protégé par sa tribu dans la province de Shabwa.
Née de la fusion des branches saoudienne et yéménite en janvier 2009, Aqpa a tiré les leçons de l'incapacité d'al-Qaida à frapper lourdement sur le sol américain, après le 11 Septembre. «Pour mettre à terre les États-Unis, nous n'avons pas besoin de frapper un grand coup», affirme le magazine Inspire, qui ajoute: «Dans l'environnement sécuritaire qui parcourt toute l'Amérique, il est plus aisé de mettre en place des attaques réclamant moins d'intervenants et de temps, et ainsi nous pourrons sans doute contourner les barrières de sécurité que l'Amérique s'est efforcée d'ériger.» Désormais, la stratégie d'Aqpa est claire: harceler les États-Unis ainsi que leurs alliés et, pour masquer son incapacité à frapper fort, surtout bien le faire savoir via Inspire ou Sala al-Malahin, ce site qui ne cesse de louer les vertus des tribus yéménites, ultime refuge des quelque 500 à 600 membres de la succursale d'al-Qaida.
Le pape, regrette le Sidaction, «continue d'affirmer que ce n'est pas la façon à proprement parler de venir à bout du malde l'infection au VIH. Les acteurs de la lutte contre le sida ne peuvent que se désoler d'une nouvelle prise de position qui est à l'opposé des certitudes scientifiques. L'utilisation du préservatif doit être promue de façon étendue partout où des hommes et des femmes sont exposés au VIH», a ajouté l'organisation dans un communiqué.
Une porte s'entrouvre, la suivante menace de tout bloquer. Dmitri Medvedev accepte d'engager, avec l'Otan, la discussion sur un bouclier antimissile de Vancouver à Vladivostok. Il s'agit d'un «événement historique», lance-t-il en écho à Barack Obama. Mais c'est pour mieux situer l'enjeu. Pour le président russe, l'élan risque de se briser tout net en même temps qu'un projet presque abouti: le traité de désarmement nucléaire Start, dont la ratification par Washington est devenue l'otage de républicains enhardis par les urnes. À l'image d'un sommet allié sans histoire, le rendez-vous du chef du Kremlin avec les Occidentaux a suivi le script attendu, samedi à Lisbonne. Rien à voir avec la rencontre de 2008, empoisonnée par une promesse d'élargissement de l'Otan à la Géorgie et à l'Ukraine. La candidature des deux satellites de l'ex-URSS est désormais remisée et les éclats de voix de Vladimir Poutine oubliés. «Le climat est apaisé», souligne Nicolas Sarkozy. Le mérite revient aux vertus avant tout diplomatiques de la défense antimissile. Après avoir dressé Moscou contre l'Otan et une bonne partie des Européens contre George W.Bush, le bouclier version Obama rassemble tout le monde sans avoir dépassé le stade de la planche à dessin.
Dmitri Medvedev ne s'est pas engagé formellement. Mais il accepte de lancer des pourparlers techniques sur l'interconnexion du futur dispositif de l'Otan avec la défense russe: «Comment cela fonctionne-t-il? Pour quel coût? Il semble évident que les Européens eux-mêmes n'en ont pas une idée très complète…», dit-il en clin d'œil aux questions laissées sans réponse à Lisbonne. La Russie exigera dans tous les scénarios un partenariat «sur un pied d'égalité».
«Nous nous mettrons d'accord pour débuter l'an prochain la transition (…), avec l'objectif de confier la sécurité au gouvernement et au peuple afghans en 2014», a confirmé ce vendredi la secrétaire d'État américaine, Hillary Clinton, à l'ouverture du sommet de l'Alliance à Lisbonne. «On voit le bout du tunnel, mais il est clair que les alliés garderont au-delà un rôle au minimum non-combattant», pondérait un responsable de l'Otan.
Si le délai de quatre ans est respecté, ce qui viendra après reste aussi à préciser. Le porte-parole de l'Alliance James Appathurai évoquait ce vendredi «un partenariat à long terme», qui verrait l'Otan «rester aussi longtemps qu'il le faut pour que l'Afghanistan retombe sur ses pieds». Il faisait évidemment référence à des missions civiles. La presse américaine, elle, tient déjà pour pratiquement acquis que les forces spéciales et autres troupes de choc resteront dans le pays une bonne part de la décennie.
Officiellement, les Américains ne réclament de la Turquie que son approbation au projet (les décisions de l'Otan se prennent par consensus) et ne lui mettent «aucune pression» pour qu'elle héberge des éléments du bouclier, notamment les radars. Mais, le mois dernier, son sous-secrétaire en charge des Affaires de sécurité internationale, Alexander Vershbow, a clairement dit que la Maison-Blanche attendait qu'Ankara «démontre publiquement» son investissement au sein de l'Otan. Washington voudrait que la Turquie fasse oublier son «non» au renforcement des sanctions onusiennes contre l'Iran ainsi que son bras de fer avec Tel-Aviv, particulièrement tendu depuis que Tsahal a tué neuf militants turcs qui se trouvaient à bord du ferry Mavi Marmara, en route pour Gaza, au printemps dernier.
3.Проанализируйте функционирование ФЕ в конечной позиции. Являются ли ФЕ образными комментариями вышеприведенного контекста? Играют ли они роль пословиц, кратко, в мудрой форме подводя итог всему вышесказанному? Аргументируйте свой ответ.
En contrepartie, Dehli s’est engagé à dissocier ses installations nucléaires civiles des installations militaires et à placer les dernières sous contrôle international. Dans quelles proportions? C’est là que le bât blesse.
La salle se pâme comme les femmes savantes perdaient le souffle à entendre les rimes de Trissotin. Mais Vladimir Poutine n’est pas poète et n’y prétend pas. Il aime enfoncer les clous.
Le garçon, échappé d’un centre pour enfants à problèmes, a franchi tous les contrôles. En entrant dans l’avion, il a prétendu que ses parents qui venaient de monter à bord avaient sa catre d’embarquement. L’hôtesse, qui a pris la peine de vérifier, a découvert le pot-aux-roses.
Le carnage de Grozny, où une trentaine de personnes auraient trouvé la mort, et non pas sept, comme l’affirme le bilan officiel, ruine les efforts constants de Moscou pour accréditer la fiction d’un “retour à la normale” en Tchétchénie. Il fait voler en éclats “la solution politique” de Poutine qui consistait, en manipulant les urnes, à légitimer le pouvoir de Kadyrov – un transfuge du camp indépendantiste qu’il a lui-même placé à la tête de la république dévastée en 2000 – pour mieux réduire le conflit à une confrontation entre Tchétchènes. Le sachant indispensable, l’ex-mufti réclamait toujours plus de pouvoir.Sa disparition met Poutine au pied du mur. Soit il place la Tchétchénie sous l’administration présidentielle directe – et se retrouve en première ligne. Soit il poursuit sa tactique, mais encore faut-il remplacer le dirigeant défunt. Or les Tchétchènes prorusses susceptibles de convenir au Kremlin ne sont pas légion.
La gauche est triomphante. Le Parti socialistes, auquel il manque, à l’Assamblée, de quoi satisfaire à la majorité absolue, va se trouver d’emblée tributaire, sur les flancs, de bonnes grâces du Parti communiste, des Verts et autres coalitions dites progressistes. Dans ces conditions, on ne voit pas très bien comment la France, déjà ingouvernable par nature si le pouvoir n’est pas fort et fédérateur, va s’arranger longtemps d’être ainsi tirée à hue et à dia.
Tout ces hypocrites de la commission européenne prêchent avant tout pour leur propre paroisse. Ils s'en prennent à la France pour qu'elle garde "ses" roms car ils sont parfaitement conscient que si ces roms ne vont plus en France, ils ne resteront pas non plus en Roumanie. Ils jèteront forcement leur dévolu sur un autre pays de l'UE, peut être le leur et ça ils n'en veulent pas. D'où leur zèle à vouloir imposer à la France de garder ses roms bon gré mal gré!
Poser la question d'abord au gouvernement roumain qui se débarrasse de ses roms chez nous et crie au scandale quand le gouvernement les réexpédie chez lui avec 300 euros de nos impôts en prime. 2 effectivement, l'argent de l'UE est donné au gouvernement roumain, ensuite quel est le suivi de l'utilisation de ces fonds dans ce pays corrompu. Les contrôleurs européens risqueraient certainement leur vie là-bas. Je n'en veux plus de cette Europe élargie, merci. Ras le bol.
Le pays qui a la plus forte natalité (merci les immigrés au passage) doit il avoir la reforme la plus dure? a vrai dire je me fous de savoir tout ca je me fous de savoir si les jeunes auront une retraite ou pas car ce n'est pas ce genre de mesurette qui réglera le problème des retraites dans 30 ans La seule chose que je sais c'est que ca m'emmerde de travailler deux ans de plus pour des chefs tout beaux et tout jeunes qui vous regardent de plus en plus comme des vieux donc incompetents et donc inutiles J'ai envie de profiter d la vie et non plus qu'on profite de moi. J'ai 51 ans je bosse sans interruption deuis 1977, j'en ai ma claque.
Bienvenue à Saveh, 120 000 âmes, à une centaine de kilomètres au sud-ouest de Téhéran. La seule ville d’Iran où les femmes dominent le conseil municipal. Dans cette salle de réunion, elles sont quatre pour trois hommes, tout trois devancés à l’heure du décompte des voix, lors des élections locales de février 1999. N’exagérons rien, c’est quand même à l’un d’entre eux qu’échut la présidence de l’Аssemblée. Mal à l’aise, ce directeur de l’école tente mollement de frеiner l’entrain de ses sœurs». Peine perdue. Il finira par baisser pavillon.