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Раздел 4

Коннотация как источник прагматического значения

Под прагматическими свойствами ФЕ подразумевается их способность «…апеллировать к эмоционально-волевой сфере психики адресата, а через нее – к его интеллектуальной сфере путем эмоционального «заражения», внушения, убеждения с целью регуляции его поведения» (Баркова, 1982). Прагматические свойства присущи, прежде всего, коннотативно окрашенным ФЕ. Использование их в любых коммуникативных актах способствует реализации определенного прагматического задания, которое является необходимой частью замысла автора речи и заключается в передаче слушателям или читателям эмоционально-эстетической информации (Клековкина, 1983). Последнее обстоятельство особенно учитывается в письменной коммуникации (Дземешкевич, 1990), в том числе в мире прессы, где контакт автора высказывания и получателей информации не может быть непосредственным.

Рекомендуемая литература

1.Баркова Л.А. Прагматические свойства фразеологизмов и их речевая реализация // Фразеология и контекст. Сб. науч. трудов. Вып. 198. – М.: МГПИИЯ им. М. Тореза, 1982.

2.Дземешкевич Н.И. Фразеологизмы в контексте рубрики // Фразеологические единицы и контекст. Межвуз. сб. науч. тр. – Иркутск, Иркутский гос. пед. ин-т ин.яз. им. Хо Ши Мина, 1990.

3.Клековкина Е.Е. Об эмотивных выделениях основных тем произведения «Тамерлан Великий» // Вопросы фразеологии и фразеосемантики. Межвуз. сб. науч. трудов. – М., Мос. гос. пед. ин-т им. В.И. Ленина, 1983.

Exercices

1.Пользуясь фразеологическим словарем, дайте дефиниции (определения) ФЕ.

2.Прочитайте и переведите фрагменты статей, определите интенцию (намерение) автора статьи.

En 1944, de Gaulle acquert le pouvoir de donner des ordres en France et d’y être obéi. Eisenhower en prend acte, c’est tout. Et Roosewelt fera finalement fi de ses préventions contre de Gaulle.

L’isolationnisme traditionnel reprend le dessus pendant un premier temps. Les navires qui rentrent dans leurs ports d’attache sont recouverts de bâches. Chirchill en est d’ailleurs terrifié et convainc les Américains, qu’il craint de croire se retirer d’Europe, d’associer la France à l’occupation de l’Allemagne. Et fait, c’est avec la guerre froide – les menaces soviétiques sur la Turquie et l’Iran, la guerre civile en Grèce, durant laquelle les communistes se montrent très offensifs – que le vent tourne. Truman prononce un important discours en 1947 et demande des crédits supplémentaires pour intervenir partout où des pays se trouvent menacés par l’expantionnisme soviétique.

En 2003, année de la Chèvre, le poisson-chat (американскийсомик) a fait des siennes: les Américains ont accusé les autorités vietnamiennes de la subventionner et de pratiquer le dumping à l’exportation. “Ce sont des foutaises!hurle Philippe. Les producteurs de Mississippi en ont profité pour augmenter leurs prix, mais ils vont l’avoir dans les os. En effet, qui achète le poisson-chat aux Etats-Unis? Le million de Viet-Kieus.Et ils préfèrent payer un peu plus cher celui du Vietnam que celui de Mississippi, qui pue la vase”.

“A l’époque française, l’hévéa, ici, occupait moins de 2000 hectares. Aujourd’hui, c’est 18 000 hectares. Cela correspond aux investissements fait avec les prêts soviétiques dans les années 1970 et 1980”. Sur la question, à Hanoi, le Pr Le Dang n’y va pas avec le dos de la cuiller. “De 1978 à 1990, pendant la période soviétique, le Vietnam a investi 1,5 milliard de dollars dans l’hévéa. En 2003, nous avons exporté notre latex en Chine et aux Etats-Unis pour 320 millions de dollars. La même année, nous avons exporté pour 320 millions de dollars de noix de cajou, dont la province de Bihn Phuoc est le paradis. Combien avons-nous investi dans la noix de cajou? Pas un penny. On peut donc parler d’une erreur dans l’hévéa”?

Il œuvre dans le café depuis deux ans. En 1994, c’était 100 000 hectares et 50 000 tonnes. “Le coup de rein, précise-t-il s’est produit en 1997-1998. A l’heure actuelle, c’est 800 000 hectares et 500 000 tonnes”.

Ce 7 mai 2004, Tata Phuong se reverra cinquante ans en arrière, dans le Nord, au fond d’une grotte de la forêt de Ban Thi, où elle composait un journal, Le Riz. Ecoutez-la: “Pareille à celle d’un commentateur de foot brésilien, une voix s’est mis à hurler dans un poste à galène: “Ça y est! Ça y est! Nous avons vaincu à Dien Bien Phu!”Et j’ai alors pensé à ma fille, qui, enfin, allait pouvoir aller à l’école à la lumière du jour”. Comment cette fille d’une gramde famille des lettrés, francophone à mort, élevée au couvent des Oiseaux de Dalat, rejoignit les jungles du Vietminth en 1946, puis deviendra médecin et correspondante de guerre, elle l’a raconté dans un livre épatant, Ao Dai.

C'est peut-être, parmi tous les reproches qu'a pu faire Sarkozy à Fillon, celui qui est à ses yeux le plus important. Combien de fois a-t-il pesté contre un Fillon trop en retrait? Quand il a été attaqué sur sa vie personnelle, Nicolas Sarkozy a regretté les silences de son Premier ministre. N'a-t-il pas confié à cette époque à des visiteurs: «Quand j'en ai pris plein la gueule, il n'a pas bougé. Il ne peut pas. C'est sa nature, il n'est pas courageux»? Or, comme le décrypte un de ses conseillers, «Nicolas Sarkozy considère que, dans les devoirs du Premier ministre, il y a la défense du président de la République».

A la décharge de François Fillon, le mode de management du chef de l'Etat conduit à ce genre de tensions. Un management par le stress qui insécurise ceux qui travaillent avec lui. Au gouvernement, certains ministres ne savaient plus comment faire. Quand ils s'exprimaient publiquement sans avoir fait valider leurs propos auparavant par l'Elysée, ils se faisaient réprimander, mais quand ils demandaient des validations avant de s'exprimer, ils pouvaient s'entendre répondre qu'ils étaient assez grands pour se débrouiller tout seuls! «Ce n'est jamais la bonne formule», constate un ancien membre de cabinet. De guerre lasse, confronté à des problèmes similaires, François Fillon a cessé de lutter. Mais, puisqu'on l'écartait de l'annonce des bonnes nouvelles, pas question qu'il prenne sa part des mauvaises.

Toute la question, désormais, est de savoir si ces bonnes résolutions vont tenir au-delà d'une lune de miel. Peu nombreux sont ceux qui le croient. «Sarkozy ne changera pas, c'est plus fort que lui, assure un connaisseur de la vie politique. Il a une conception personnelle du pouvoir. S'il ne fait pas les choses lui-même, il considère qu'elles sont mal faites.» En outre, depuis trois ans et demi, le chef de l'Etat a pris l'habitude de court-circuiter le Premier ministre pour travailler avec ses conseillers et les ministres. «Il n'est plus là-dedans, veut croire au contraire un ministre.Il n'est plus dans l'humiliation de son Premier ministre. Il est passé à autre chose avec la préparation du G20 et des prochaines échéances.»

Au-delà de la forme, c'est également sur le fond que, à l'époque, les deux hommes ne sont plus forcément en phase. Déjà, avant l'été, François Fillon avait qualifié publiquement la politique économique en employant le mot de «rigueur», considéré comme un tabou par l'Elysée. Aussi, quand le Président lui explique ce jour-là, en tête à tête, qu'il n'a pas encore décidé de ce qu'il allait faire pour le remaniement, mais qu'il devrait peut-être réfléchir à l'idée de prendre la tête de l'UMP, l'incompréhension est totale. Cette scène éclaire les trois ans et demi que les deux hommes viennent de vivre. Ils se voient régulièrement mais ne se parlent plus. Comme le constate un proche du Président, «Sarkozy a un mur en face de lui. Fillon ne lui dit rien.» Le Président ne comprend pas pourquoi son Premier ministre ne lui dit pas clairement ce qu'il veut faire. C'est le temps des intermédiaires. Edouard Balladur joue volontiers ce rôle de passeur de messages pour expliquer à Nicolas ce que souhaite François. De son côté, Brice Hortefeux décrypte à Fillon la volonté de Sarkozy et le conseille sur la meilleure façon d'aborder les choses avec lui.

Les intendants de Pompéi ont minimisé cette succession de chutes. «Ce sont des choses qui peuvent arriver sur un vaste site archéologique qui a 2.000 ans, surtout dans des conditions climatiques comme celles de ces derniers jours», a affirmé la responsable archéologique du site. Des propos qui font écho à ceux tenus, mardi, par le ministre de la culture italien. «Il faut éviter tout alarmisme inutile. La situation à Pompéi est constamment contrôlée par les techniciens et l'écroulement n'a concerné aucun élément important, ayant une valeur historique, artistique ou archéologique», a expliqué Sandro Bondi, un proche du Cavaliere.

Le jeune a été interpellé le dimanche 28 novembre à 22h49, le jour de ses 18 ans. Placé en garde à vue, il a été traduit devant le tribunal correctionnel deux jours après son interpellation. Mais son avocate a soulevé l'incompétence du tribunal: «Je ne disposais pas de l'heure exacte de naissance de mon client qui établit la majorité d'une personne». Or, la comparution devant ce tribunal est valable uniquement pour les personnes majeures. Le tribunal a alors sollicité un extrait d'acte de naissance. «Il s'est avéré que mon client est né le 28 novembre 1992 à 22h50. Les faits qui lui sont reprochés ont donc été commis pendant qu'il était mineur», précise son avocat, Me Delphine Banquet. «A une minute près, la situation pénale change du tout au tout».

Le 8 décembre, cela fera cinq ans que Florence Cassez croupit derrière les barreaux d'une prison mexicaine. «Elle tient le coup car elle est pleine d'espoir, expliquait son père la semaine dernière. Je ne peux pas imaginer que ce calvaire ne s'arrête pas enfin».

Pour Philippe, la généralisation des dépistages et une meilleure prise en charge des malades pourraient contribuer à banaliser la maladie, qui concerne 152.000 personnes en France. Un combat auquel il contribue au sein de l'association Aides. Le Pr Capeau appelle quant à elle à une optimisation de la prise en charge médicale. «Ces patients sont suivis en milieu hospitalier par des infectiologues, formés pour mettre au point leur traitement. Mais le système a ses limites. Les malades développent en effet des complications qui relèvent d'autres spécialités cancérologie, rhumatologie, cardiologie… Or de nombreux généralistes et spécialistes se montrent réticents à s'occuper des malades atteints du sida, par peur des interactions avec la trithérapie, qui requiert des connaissances complexes.