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Вопросы к экзамену..docx
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V. Parlons de l’éducation.

1. Qu’est-ce que vos savez du système éducatif français ?

Le système d’enseignement

En France il y a trois degrés dans l’enseignement public:

1) l’enseignement primaire, 2) l’enseignement secondaire, 3) l’enseignement supérieur. L’enseignement primaire est gratuit et obligatoire de six à quatorze ans. Il se donne dans les écoles primaires élémentaires. Les cinq premières années (cours préparatoire, cours élémentaire, cours moyen) constituent le cycle élémentaire. Pour les élèves qui ne s’orientent pas vers l’enseignement secondaire, ce cycle se prolonge par le cours de fin d’études (deux années), sanctionné par l’examen du certificat d’études primaires. L’enseignement secondaire comprend deux cycles, d’une durée de quatre ans, est une période d’observation et d’orientation. De onze à seize ans (de la classe de 6 à la 3), les élèves reçoivent un enseignement clasique, moderne ou pratique, dans des lycées (d’Etat, municipaux, techniques), des collèges d’enseignement général, des collèges d’enseignement technique ou des collèges d’enseignement secondaire. Le second cycle s’ouvre avec la classe de seconde. A la fin du premier cycle, l’orientation, à la fois pédagogique et professionnelle, conduit l’élève vers: 1)L’enseignement long, général ou technique, qui est sanctionné, après trois ans d’études, par le baccalauréat ou un brevet de technicien; 2) l’enseignement court, qui mène, en deux ans d’études, à un brevet d’études professionnelles ou à un certificat d’éducation professionnelle du commerce ou de l’industrie; 3) l’enseignement général court, qui conduit à des brevets d’études professionnelles. Ce qui caractérise l’enseignement secondaire en France c’est sa bifurcation en différentes sections et le grand nombre d’élèves éliminés- le passage dans la classe suivante est soumis, à la fin de l’année secondaire, à un examen très diffcile et beaucoup d’élèves y échouent. L’enseignement supérieur est dispensé dans les Universités, les Grandes Écoles, certains instituts et établissements littéraires ou scientifiques indépendants. Son accès est permis aux titulaires du baccalauréat est exigé pour être admis dans certaines facultés.

2. Un bon prof c’est celui qui fait motiver les élèves. Vous êtes d’accord ?

Oui. Le professeur doit motiver les élèves. A mon avis, la motivation, le désir de l’élève d’apprendre une langue étrangère, par exemple le français, dépend avant toute chose de la compétence du professeur, de sa maîtrise de la langue ; de sa personnalité, de ses qualités morales et physiques. Pour intresser les élèves il doit, bien entendu, posséder de profondes connaissances en français, pouvoir répondre à n’importe quelle question de l’élève. Le bon professeur qui donne envie d’étudier c'est quelqu'un qui qui possède un certain nombre de qualités humaines, dont la sympathie, la bonté, le sens de l’humour. "On n'apprend que de celui qu'on aime". Ceci est vrai quand on aime quelqu'un on l'écoute, on n'oublie pas ce qu'il dit, on essaye de lui faire plaisir, etc. Le professeur lui-même doit être « motivé » c’est-à -dire aimer son métier et l’excercer avec plaisir. En plus, il faut que l‘ambiance de la leçon puisse interesser les élèves à la France, à la culture française.

3. Imaginez que vous êtes Français(e). Quelles questions poseriez-vous pour vous informer sur le système éducatif biélorusse ?

Qu’est-ce qui est caractéristiques pour l’éducation au Bélarus ?

A quel êge les enfants comment-ils leurs études ?

Les petits écoliers qu’est-ce qu’ils apprennent à l’école primaire ?

Combien d’années dure l’école secondaire ?

Quelles sont les matières que les élèves apprennent à l’école secondaire ?

Est-ce qu’il y a des collèges professionnels ?

4 . Quels conseils pourriez-vous donner aux jeunes gens pour choisir bien la profession ?

Les conseils aux jeunes gens pour choisir bien la profession.

 Comment faire un bon choix ? Notre sort est inséparablement lié à une profession, au chemin choisi dans la vie. Le choix de la profession et de l’entrée dans la vie professionnelle est une décision importante. Il est difficile de décider quelle route suivre , quel spécialiste devenir parce que le nombre de métiers est énorme.

Se poser des questions : Quels sont mes points forts et mes talents? Est-ce que j’aime la routine ou le changement ? J’adore travailler en équipe ou je préfère le travail en solitaire ? Quelles sont mes faiblesses ?. Les réponses à ces questions peuvent servir de base pour prendre la bonne décision.

Recherchez les possibilités de formation. S’imformer sur le métier qui nous attire

Parlez avec des professionnels de la branche sur leurs tâches dans leur travail. Rendez visite aux offices d'orientation. Vous y trouverez toute la documentation nécessaire au sujet de nombreux métiers et formations. Assistez à des salons des métiers ou à des séances d'informations pour en apprendre plus au sujet du job de vos rêves.

Garder l’esprit ouvert et être curieux. Bien des métiers sont connus de tous : médecin, avocat, chanteur, acteur, astronome , pompier, policier... mais il existe des millier d’emplos dant on entend peu ou pas du tout parler et qui peuvent être intéresants.

5. Avez-vous déjà choisi votre future profession ? Parlez-en !

Cette année je termine l’école secondaire. Quant à ma future profession c’est déjà décidé: je veux devenir avocat. Je m’y intéresse depuis déjà longtemps.

Dans les pays développés cette profession est une des plus importantes.

On est en train d’édifier un état démocra­tique de droit. Chaque citoyen doit avoir des libertés néces­saires. Cela exigera une grande quantité des spécialistes de haute qualification.

Je m’y prépare depuis les trois dernières années. Le ju­riste de nos jours doit être bien instruit, posséder une haute culture générale, avoir des acquisitions de recherches, de systématisation de l’information.  Il faut savoir communi­quer avec de différentes catégories de gens.

Je comprends bien qu’en passant mes examens d’entrée je dois montrer des connaissances du matériel supplémentaire, je dois me débrouiller dans les événements de nos jours, dans les lois qui sont adoptées par le Gourvenement et d’autres organes du pouvoir.

L’année passée je me suis abonnée à la revue “Le droit de l’État” et au journal “La voix de l’État”. On peut dire que je suis au courant de tout ce qui se passe dans notre pays, de tout ce qui apparaît de nouveau dans le système ju­ridique. Toute l’année j’étudiais d’une manière profonde la nouvelle constitution d’État qui avait été adoptée l’été passé par le gouvernement après de très longs débats.

Je doit avouer que dans mon enfance je voulais être in­génieur de radio, mais un peu plus tard, quand j’ai com­mencé à étudier la physique, j’ai senti que ce n’est pas pour moi. Je ne suis pas créé pour les sciences exactes. J’aime plutôt réfléchir, faire des conclusions, imaginer, prévoir… bref, les sciences sociales m’attirent plus.

J’ai un ami qui s’appelle Anatole et je dois dire que lui, il ne pense qu’à être ingénieur et justement à être ingénieur de radio, il a déjà réparé pas mal des postes de radio, de téléviseurs, de magnétophones, de platines disques dans sa maison et dans celles de beaucoup de voisins. Il peut lire un schéma technique comme un roman de science fiction.

Pour moi c’est un casse-tête chinois. Anatole a l’inten­tion d’entrer à l’Université polytechnique  à la fa­culté de radio. Il est fort en mathématiques, en physique, en dessin.

Cette année nous avons beaucoup aidé l’un l’autre car apprendre au fond toutes les matières enseignées en onziè­me est énormément difficile.