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Phonétique théorique

  1. Objet de l’étude phonétique: aspects, branches, niveaux, méthodes de recherches.

Phonetique – est le science des sons. Phonetique est une branche de la linguistique qui etudie les sons de langue parlee. Ph s’oocupe de l’expression linguistique sonore et non pas de contenu, donc l’analyse se releve de la grammaire et du vocabulaire. Phonetique –est le science qui etudie tout les elements sonores du langage - les sons du langage - leurs combinaisons et modifications. Donv elle exclut les autres sons produits par les etres humains meme s’ils servent parfois a commun iquer(les toux, les raclements de gorge)La phonetique est considere comme une science assez ancient. La naissance de la phonetique en tant que science se situe environ a la moitie de la 19 siecle grace au developpement d’une linguistique scientifique, historique et comparative. La naissance de la phonetique est due aussi du progress d’une technique speciale a l’aide de laquelle l’etude scient des sons de la parole a etait pour la premiere fois rendue possible. Jean Pierre Russolot – ph francais, qui etait le fondateur de la societe des parles de France, il etait le pionier de la phonetique scientifique experimental. Il a mis au point des appareils enregistreurs et propose d’etudier les modifications phonetiques des parlers par une methode experimentale..

La phonetique est aussi jeune et aussi vielle, que la linguistique. Tous les grammariens ancients etudiaient l’aspect phonetique de La langue. Elle etudie tout les elements sonores du langage : les sons, leurs combinaisons et modifications, aussi bien que different facteurs contribuant a la formation de la parole (Differents facteurs prosodiques ): - l’accent – melodie – rhytme – le debit-le tembre

Selon A. Martinet l’angage se caracterise par double articulation ce que manifeste sur deuz plans differents.

La 1 articulation (- phonematique (segmental) )est celle selon laquelle on analyse la chene parlee selon les unite sucssesive doueen d’un sense et d’une forme phonique. Cettes unites s’appellent les monemes ou les mots dans le langage courant. Les monemes grammaticaux sont les morphemes(que se combine avec les lexemes selon les regles gram) et les m. lexicaux sont les lexemes(les unites minimale de l’analyse).

Il ne faut pas confondre les monemes et le mot. Le mot peut etre forme de plusiers monemes- jardinet – jardin+et

Le n. segmental est presente par les sons de parol(par le phones dans leurs differentes combinaisons et modifications)

Les unites de la 1er articulation ne peuvent pas etre decomposees a l’unites semantiques plus petites.

La 2 articulation – la forme sonore que aide a distanger les mots, leurs formes dans la chene parle.

Prosodique est presente par les elements phoniques les accents, la duree, le debit.

2 plans differents : - chaine parle,unite successive. dans nombre finit, sous le nom du phonem

Les materiaux sonores du langage sont appelle les phones. Ils representes la substance de l’expression sonore. La phonetique etudie la substance de l’expression. Selon la substance les sons se divise : en voyelles, consonnes, semi-consonnes. La forme de l’expression sonore- c’est l’organisation des phones en phonemes.

N’importe quelle act de parole represente un proccessus complex constitue de plusieurs etapes : etapes linguistique, l’etape de l’articulation, l’etape du transmission, l’etape de l’audition.

Les aspects de la ph :

L’acte de parole represente un processus complexe constitue de plusiers etapes :

e. linguistique – qui se commence chez le locuteur par le choix des unites linguistiques et des moyens phoniques.

e. articulatoire – qui grace aux moyens des organs locaux donne naissence aux unites ling. Choisies par les locuteurs.

e. de la transmission – de l’onde sonorre/acoustique

e. de l’audition de la perception qui se deroule chez l’auditeur grace a l’activite des mechanismes de perception

e. qiu conclut l’etape de la parole et manifeste chez l’auditeur par le distinction des unites.

  1. Articulatoire – la production des unites phoniques, cette aspect etudie le fonctionement des organes phonateurs et articulatoire du locuteur.

  2. Acustique – transmission des sones de sonores, l’aspect etudie les structures acustiques des unites ph, la structure est forme par les modification de la frequence de ton, de l’energie, derive.

  3. Auditif – s’occupe de la perception par l’auditeur des ondes sonores, produites au cour de message.

  4. Linguistique – a pour but de defenir, de determiner le nombre et les relations mutuelle des unites phonique, leurs fonctiones dans le langage.

Les branches : historique(l’evolution du système phonique d’une langue a travers son histoir), general( les conditions generales de la formation et du fonctionnement independement des langues concretes), comparative(les correspondances ph. Dans diff. Langues ce qui permet d’etablir leur traits communs et leurs particularites), descriptive (qui etudie des particularites phon d’une lange donne), orthoephie (ph normative qui etudie les normes de la prononciation correcte d’une communaute ling a une epoque donnee), phonostylistique (le fonctionnement des moyens phonetiques dans diff styles et genres du discours).

Les methodes : objective(instrumental)Scerba mettait plus attention aux recherches enstr, subjective – l’oreille humain, selon Malmberg cette methode est le plus important,

electro-acustique, antonographique – on peut etudier des composants acoustiques de l’onde sonore - la frequence du ton fondam, l’entensite, la duree,

spectographique – permet d\etudier l’enfluence mutuel des consonnes et des voyelles en contacte,

segmentations – de delimiter des segments nec de la chaine parlee et meme son.

  1. Orthoépie. Traits essentiels de la norme phonétique du français moderne.

L'ensemble de règles de la prononciation standardisée, dite littéraire, à une époque donnée est étudié par une des branches de la phonétique nommée orthoépie (du grec: correct+discours) – le temr designe une brancghe de la phonetique qui etudie l’ensamble des regles de la pron correcte a une epoque donee.

Le rôle de l'orthoépie peut être comparé à celui de l'orthographe, l'une ayant trait à la langue parlée, l'autre - à la langue écrite. Il est nécessaire de respecter l'une et l'autre pour assurer la compréhension mutuelle. L’ort se divise en 2 parties : 1)la norme prescriptive(codifiee) – est l’ensamble des regles a suivre encarnes dans les manuels et les dictionnaires et associes a l’aide de prescription, de correcte ou incorrecte. 2) la norme objective(forme d’expr commune) – au plus grand nombre d’usages. c’est l’usage courant dans une communote ling

La norme orthoépique du français moderne a pour base la prononciation standardisée du nord de la France dont le centre est Paris. Cela s'explique par le rôle que le dialecte de l'Ile-de-Françe, le

francien, a joué dans la formation du français, langue nationale. La prononciation des autres régions de la France est considérée comme dialectale, non orthoépique.

Le bon usage est modoule par lui(Vaugelas) saur la prononciation des honnetes gens groupes autour du roi – les parisiens et l\aristocratie. A travers les siecles les regles ort du bon usage formules par Vaugelas, domaine priviligiee de la cour, de la haute bourgeoisie parisienne, restait en vigueur dans la LF. Toutes les autres variete de la popul qui ne correspondaoiut sa cette norme etait juges comme grave erreur, ridicule ou grocier. En presence on a plusieurs bon usages selon la situation de la communaute. Selon Sauvegeot les changements survenues dans la Fr lit epargnent la pronontiation moin que toute autres l’aspect de la langue.On est en presence non pas d’un seul bon usage mais de nombreux usages. La diversite de la pronntiation depand des facteurs stylistiques. Donc il est impossible aujourd’hui de parle la pronontiation standardise sans tenir compte des facteurs sociaux, regianaux ou stylistiques. Martinet pretend que en temps actuel le bon pron est celle qui passe inapercue, le mouvaise eat celle qui vous rappelle que votre introlocuteur est de telle origine internationalle, geograaphique ou sociale. Mais le temps de Vaugelat s’est passe, et le bon usage du fr mod n’est pas le meme.

Les voyelles :

 : Le vocalisme inaccentué reste relativement invariable, les voyelles françaises ne perdant pas leur timbre dans la position atone, bien que leur caractéristique s'en ressente. Dans le fr moderne le es tendances evolutives des v sont ; l’attennetion de la distiction entre les timbres vocaliques et de nombreaux flottements dans la realisation des v . Ces part de distr concernebt l’opp ouverte-fermee, et a post a L predominance de la pron de e ouverte

E instable Selon Grammot le e inst se maintient regulierement dans le gr de 3 consonnes , quant 2 c le preccede. Cependant cette realisation depend de l’entourage et du ruthme de l’enonceLe e inst est supprime dans les f verbales suivies d’un monosyllabe qui presente une joncture externe, meme dans la pos finale des mots. Selon Leon – le e inst precede d’une seule c prononcee tombe gener quelle que soit sa position dans le gr ryth ; le e inst est prononce precede de plus d’une c prononcee, en posm initiale et mediale de gr rythm ; le e inst final precede de 2 c prononcee tombe ; en cas de plus e inst a la suite, on tend a garder le 1er et a supprimer le 2’ devant le h aspirer le e inst se maintient.

Le terme instable peut s’expliquer par le fait que le [ə] peut tomber(Je sais et J’sais) Plutôt il ya plusieurs différences régionales, contextuelles, individuelles(EU ouvert-seul, EU fermé ceux; à Paris – Je sais et Prends-le avec [ə] caduc dans Je et le [oe] ouvert dans le) et positionnelles(dans les préfixes devant une consonne redoublée, le s, pour éviter la prononciation du z -ressentir).

Tous les points de vue sur le statut de cette voyelle peuvent être classés de la façon suivante:

1)le [ə] instable constitue un phonème qui trouve sa place dans le système vocalique du fr. 2)le [ə] instable n’est pas considéré comme un phonème à part. 3)le [ə] instable jouit d’un statut particulier dans la phonologie du fr.

I.Les linguistes qui considèrent le [ə] instable comme un phonème indépendant on trouve G. Straka, K.Togeby, L. Scerba. On implique les oppositions du type [ə]- [œ], [ə]- [ø].Pourtant, ces oppositions ne sont pas convaincantes parce que on a les conditions différentes de la réalisation des voyelles qu’on suppose opposé : la voyelle [ə]se trouve inaccentuée, quand les phonèmes [œ] [ø] sont apte àporter un accent. Cependant, dans les opposions lexicales le [ə] instable/le zéro phonique(porte- porté, l’être – le hêtre l’eau- le haut, le les) le [ə] instable joue un rôle phonologique évident. On observe la neutralisation de cette opposition dans la langage courante(ferons, pelisse) et maintenance dans le vocabulaire d’emploi rare(pelage, belon). Et bien grâce à son alternance avec le zéro phonique Scerba attribue au [ə] le statut de phonème indépendant par rapport au phonème [œ] qui présent toujours dans le mot. Quoique cette idée soie contestable parce que l’alternance du [ə] instable /le zéro phonique ne contribue pas au changement du sens et les réalisations du phonème [œ] opposé au [ə] ne sont pas stable

II. N. Chigarevskaïa estime que le [ə] instable est une variante du phonème [œ] en syllabe ouverte non accentuée. Il faut noter le timbre de ce son. Plusieurs linguistes considèrent ce son comme un son intermédiaire entre le [œ] et le [ø] , les autre le décrivent comme un son [œ] ouvert, bref, moins intense et tendu. Mais finalement, les observation s articulatoires montre que le [ə] instable ne peut pas être considéré comme un simple variante des phonèmes [œ] et [ø]. La réalisation du [ə] instable est considérée comme une voyelle neutre ou centrale avec un timbre un peut délabialisé proche du [ε].

III. le [ə] instable constitue une unité exceptionnelle dans le système phonologique en basant sur sa réalisation phonétique et son fonctionnement bien particulier. On le attribue la possibilité à revendiquer les fonctions prosodiques, délimitatives, stylistiques, distinctive.

Les consonnes – le cons ne subit grands changements/ Le maintien ndes opp cons dans differentes positions, meme a la fin du mot la realisation du timbre cons depuis l’epoque de la form fr l nation reste en vigueure de nos jours.Le timbre des consonnes sonores ne change pas considérablement à la fin absolue du mot.

Ces consonnes gardent leur caractère sonore à la fin du mot : limonade Les consonnes du français sont peu sujettes à l'assimilation. Suivies de voyelles antérieures, elles restent plutôt dures, elles ne se mouillent pas facilement, ce qui devient évident, dès qu'on les compare aux consonnes russes dans la même position.

  1. Phonème et ses variantes: identification des phonèmes, rapports des phonèmes.

Le phonème c’est une sorte d’abstraction. La phonologie est une discipline linguistique qui a pour objet de déterminer les distinctions phonétiques, qui ont une valeur différentielle dans une langue donnée, et d’établir le système de phonèmes et des prosodies. Selon Martinet: langage humain est caractérisé par une double articulation, qui se manifeste sur 2 plans différents. Première articulation – la chaine parlée est analysée en l’unité successive douée d’un sens et d’une forme phonique. Les unités de première articulation ne peuvent pas être analysées en unités sémantiques plus petites. Par contre la forme sonore peut être décomposée en unité phonique qui contribue à distinguer par exemple “cheveux” de “chevaux”. La deuxième articulation du langage, dont les éléments forment dans chaque langue une système d’unités en nombre fini connues sous le nom de phonème. Par ex . le mot « toute » contient 3 unités de la 2 articulation: /t,u,t/C’est grâce à la 2 articulation que la langue utilisant la quantité limitée d’unités discrètes sert de moyen d’expression et de communication sans limites. Le phonème représente dans le système d’une langue l’unité phonique minimale, destinée à distinguer les unités significatives, les unes des autres (les morphèmes, les mots et même les unités plus complexes, les phrases).

On attribue au phonème une double fonction : celle de constituer les unités significatives et celle de les distinguer.

Le phonème a ses quelques traits pertinents qui sont à la base de la différenciation entre les phonèmes. Il est à signaler que les traits distinctifs de différentes langues ne sont pas les mêmes. Par exemple, le degré d’aperture serve de trait distinctif en français et en italien. Tandis que la nasalité est une caractéristique distinctive pour le français, mais pas pour l’ukrainien. En revanche la mouillure des consonnes se manifeste d’une façon pertinente dans le système consonantique de l’ukrainien, tandis qu’elle n’est pas le cas pour le français.

Principes d’identification de phonèmes

Les principes d’indentification des phonèmes:

Substitution ou commutation – semble d’être capitale pour dégager le phonème initial. (temps, paon, dent) on arrive à isoler les unités différenciatives : t, p, d. La substitution de ces unités à l’initial de mots a pour conséquence l’ modification de leur forme phonique et de leur valeur lexicale.

Ce critère est surtout efficace pour les quasi-homophones.( fait – fée ; mâle – mal)

Le critère du rapprochement des mots, où des sons en question placés dans un contexte identique se distinguent nettement: animal-bemol

Pour établir la valeur phonologique d’un son c’est son adjonction aux mots, retranchement du son ayant pour résultat la modification du sens de celui-ci: border-aborder, face-efface

Définissez les variantes d’un phonème et caractérisez les.

Les facteurs déterminants les variantes du phonème sont assez divers: l’entourage phonique (les variantes combinatoires), l’accent (la position), le style.- e.

Les variantes peuvent être définies comme réalisations différentes d’un même phonème.

Il y a des variantes combinatoires (ou contextuelles, allophones). Le plus souvent c’est le contexte phonique qui est responsable de la réalisation des variantes.

Par ex. La consonne l peut être Labialisée – lune

Palatalisée – lire

Vélarisée – lasse

Assourdie – peuple

Il y a des variantes conditionnées par l’accentuation (positionnelles). Par ex.les voyelles françaises s’allongent sous l’accent (surtout devant r, v ; g ; z ; vr)

Des variantes phonématiques, qui possèdent une valeur d’indication (comme par. Ex les variantes stylistiques qui marquent la style, ou servent d’indice de l’expressivité)

Il existe aussi des variantes individuelles et régionales.

Rapports du phoneme

Les traits pertinants d’un phoneme ne se degagent que par oppositions de celui-ci aux autres phonemes. Ainsi en opposant p et b - le rapport enre eux est realise par la presenfce de la sonorite dans le premier et son abscence dans le second – s’opposenet par le trait de la sonorite. Les phonemes /b/,/p/ sont opposes au /m/ (tous les trios ont quelques traits communs) et les traits pertinent, le caractere occlusive et bilabial; trait pertin – l;absence de nasalite.

Si la meme caracteristique differencie plusieurs couples de phonemes – ils sont correles et leur ensemble forme une correlation.( La correlation du degree d’apperture: /e/-/ε/, /o/-/c/.

) Certaine oppositions phonemat sont possible dans tous les contexts, d’autres sont limitees, en positions bien determinees, d ;ou la distinction entre les oppositions constantes et neutralisables. Quant une opposition perd son pouvoir distinctif dans certains vontextes, il s’agit de la neutralisation de celle-la.Certains linguistes utilisent le terme d’ Archiphoneme c’est un terme utilize pour designer l’unite qui est realize en position de neutralization.

Elle peeut etre alors defini comme l’ensemble de traits pertinants communs a deux phonemes opposes

  1. Système mélodique de la langue française. Dix intonations de base selon P.Delattre.

La melodie implique des variations de hauteur tonal qui affectent de diverses facons les syllabes successives de la phrase. Sur le plan articulatoire la m resulte de l’activite des cordes vocales, de divers muscles du larynx, la pression sous-glottique. Du point de vue accoustique la m represente des variations de frequence fandamentale repartient entre les elements sonores de la phrase. Les changements de frequence des vibrations des cordes vocales sont responsables de la parception des variations de hauteur, dont le deroulement cree la melodie de la parole. La prosodie inclut les 2 aspects principaux : l’accentuation – etablit des distinctions au niveau du moneme ou des reperes au niveau du groupe, alors que l’intonation – organise la dependance des groupes rythmiques entre eux dans la phrase et les phrases dans le paragraph..

La m est consideree comme l’element prosodique qui joue le role primordial dans la formation du message parle L’imp de la m est telle qu’elle determine la valeur syntaxique et semantique d’une phrase.Le role exeptionnel de la m apparait en fr et ceci parce qu’un autre element prosodique, l’accent, concourt moins a l’organisation de la phrase en raison de sa place fixe et de son intesite faible. La m joue plusieur roles :1. F distinctive – la m participe a la differ de la valeur communicative des unites plus grandes que les mots – des phrases. Une phrase enonciative se tr en phr interrogative lersque la m descendente en fin de phrase est substituee par la montante 2. Demarcative dans les cas d’ambiguites – l’enfant [dit le maitre] – est un ane, l’enfant dit ; « le maitre est un an »/ 3.culminative – la m,de paire avec l’accent contribue a la mise en valeur d’une unite en depit d’une autre et elle etablit une sorte d’hierarchie entre les unites successives de l\enonce sans modifier son contenu. 4. expressive – la m donne la possibilite de rendre les moindres nuances de sens emotionnelles ou modales – etonnement, joie, colere, doutre.

Il ya 3 traits : 1. La direction du ton – represente un trait pertinant majeur responsable de la formation des types de ton. On distingue 2 types de ton – statique et melodique. Les f utilisent plus le ton statique pendant l’emisiion ou la voix reste fixee. 2.la notion de niveau – 4 niveaux dans la tessiture de la parole non expressive – 1grave 2medium 3infra aigu9haut0 4aigu. Le n 2 – le n fond de la voixle n 1 – de finalite, le n 3 de continuite, le n 4 de question. 3courbe melodique – de l’interrogation. De l’exclamation, du commandement se differecient par la forme, leur niveau et leur direction etant les memes.

La Figure 1prhente schématiquement les dix courbes de nos intonations fondamentales dans un ordre gradué qui les range de haut en bas de la plus ascendante à la plus descendante. Les formes schématiques que l'on voit sur cette figure sont faites pour rappeler les formes phonétiques réelles des courbes. Pour mettre en évidence le rapprochement entre les formes schématiques

et les formes réelles des courbes, la Figure 2 présente une illustration des dix intonations sous la forme d'un dialogue de dix phrases très courtes, toutes terminées en syllabes ouvertes pour faciliter la comparaison spec- trographique. En voici le texte:

-Sices oeufs Continuation mineure

ttaient Irais, Continuation majeure

j'en prendrais. Finalité

-Qui les vend? Interrogation

C'est bien toi, Question (oui? non?)

ma jolie? Echo

-E vzdemment, . Implication

Monsieur. Parenthèse

-Allons donc! Exclamation

Prouve-le-moi. Commandement

Les courbes de la Figure 2 montrent les portions pertinentes des formes réelles des variations de fréquence fondamentale prises sur un spectrogramme typique et moyen. Les pointillés marquent des alternatives possibles, enregistrées par le même sujet dans d'autres circonstances ou par d'autres sujets. Les courbes pointillées sont moins fréquentes que celles en traits pleins. Elles indiquent qu'en français les points les plus importants se trouvent: a) pour les montées visant au niveau 4, à la dernière syllabe du groupe de sens, b) pour les descentes issues du niveau 4, à la première et à la dernière syllabes du groupe de sens.

  1. Notion d’unité accentuelle. Types d’accents dans le français moderne.

L’accent sert a mettre en relief une des syllabes parmi tant d’autres dans la chaine parlé. Une maniere de decouper la chaine parlee pour mieux comprendre le discours.Sue le plan physique l’accentuation correspond a une augmentation de la tention de l’appareil articulatoire. Sur le plan acoustique, l’accentuation comporte trois indices acoustiques.Pour realiser l’accent ph il a 3 moyens essentiels : accroissement de la duree, un accr de l’intensite, un chang de la hauteur melodique.

La nature de l\accent fr est bcp plus complexe. Barychnikova a montre que les structures acoustique de l’ac est selon la facon suivante – la frequence d’occurence duree + hauteur musical + intensite hauteur musical + duree,duree seul.

On peut dire que l’intensité, la hauteur et la durée se combinent généralement dans de différentes proportions pour former l’accent normal français. L’intensité (la force) ne se réalise pas nécessairement dans les syllabes accentuées qui sont même les plus faibles, lorsqu’elles terminent la phrase. Alors le rôle de l’intensité est plutôt négatif dans la réalisation de l’accent normal français. D’après Pièrre Delattre une des caractéristiques les plus frappantes de l’accent français est l’absence d’intensité proéminente.

La hauteur musicale. Les variations sensibles de hauteur ne sont pas toujours présentes dans l’accent français et on peut même les supprimer sans perdre l’impression de l’accent. Le rôle de la hauteur comme facteur de l’accent reste accessoire. Le rôle de la durée est tout à fait différente. Selon Pièrre Delattre la syllabe accentuée est habituellement deux fois plus longue que les syllabes inaccentuées. Donc le rôle de la durée est tres positif. La durée est le seul élément acoustique qui soit toujours un facteur de l’accent normal français.

: La place de l’accent dans le mot diffère selon les langues.l’accent peut etre fixe càd il affecte toujours une même syllabe du mot.les langues a accent fixe sont par ex. Le francais,le tchèque,le polonais.En francais c’est la dernière syllabe qui est affectée de l’accent :bo’nheur,por’teur,syl’labe. La position finale de l’accent francais s’explique par l’étymologie car il est une survivance de l’ictus des mots latins correspondants. Au cours de l’histoire du développement de la langue francaise les mots empruntés au latins ont perdu leurs syllabes finales atones et l’accent est devenu final en français. Les syllabes inaccentuees sont inegales entre elles et peuvent porter un accent secondaire.Selon Scerba – il consiste dans l’art tres nette de la v qui la porte. Gard pretend de nommer l’accent – l’echo d’accent ce qu’on ne doit confonder avec l’accent scond. En fr l’accent sc s’observe le mieux dans des mots composes. – les elements initiaux des mots composes poortent un acc sc a cote de l’acc princ frappant les elements finaux des mots ; La place de l’acc sc depend du nombre de syllabe que comporte le 1 element du mot compose. Si cet element possede une seule syllabe – elle porte l’accent sc.Si le 1er element du mot compose possede 2 ou plus syllabes, l’acc sc frappe alors la derniere. Martinet a determiner la nmotion de l’acc de phrase: « l’accent est la mise en valeur d’une syllabe, et d’une seule, dans ce qui représente, pour une langue donnée,l’unité accentuelle. » Dans la plupart des langues cette unité,munie d’un seul accent, coïncide avec le mot. Dans la phrase française on voit la réalisation de l’accent par groupes rythmiques.L’accent français qui est fixe au sein du mot isolé devient en quelque sorte mobile dans la chaine parlée. Comparez les phrases : c’est une cour – c’est une cour vaste. On voit bien que l’accent change de place,se déplace lorsque la phrase s’allonge.Dans une phrase fr c’est l’unite accentuelle qui porte l’acc, mais pas le mot.L’acc frappe la syllabe finale. Ici on voit la f delimitative de l’acc de phrase que moyen de la segmentation de la chaine parlee. On distingue 3 types de l’acc de phrase – 1.unitees accs indivis – se compose d’une suite de syllabe inaccentuees et ont a la fin une syllabe affectuee d’un accent relativement faible ; 2 – acc divisible – incluent 2 ou plus un ind dont la derniere sellabe est marquee d’un acc fanal relativement fort ; 3 acc indivis autonomes – unites qui est marquee d’un accent fort et ne fait pas partie de l ;unite accent divisible. La segmentation de l’enonce en unite accent depend du contexte. Chaque phrase peut etre pronounce differement. D’apres P.Garde, l’unite accent n’est pas seulement definie par ses caracteristiques prosodiques, cad par la realization dans ses limites d’un seul accent, mais aussi par des caract-ques gramm. La suite d’unite accent. Constitue l’unite principale de communication, la phrase, possedant son expression prosodique tout a fait parfait. Le linguiste W. Zwanenbourg releve la pause, la melodie specifique, les indications de la couche verbale en function de marqueurs qui servent a deliminer la phrase dans la chaine parlee. Il est necess. De determiner la notion de phrase et celle de proposition, car il existe une confusion dans cette conception. Certains linguistes considerent la phrase comme une unite syntaxique complexe formee de deux ou de plusieurs propositions. Pour d’autres, l’unite linguistique essentielle est la proposition et la notion de phrase n’est pas soumise a l’analyse ling. Il est important d’envisager la phrase et la proposition comme deux unites linguistiques diff. Pour devenir un vrai message complet et realizer sa valeur de communication, la phrase doit etre place dans un context ou dans un discours. C’est la structure des car-ques melodiques de la phrase qui est le plus modifie, et ses car-ques dynamiques (l’intensite) sont modifies bcp moins en gardant intact des rapports de duree entre les unites de la phrase. Le context a une influence plus faible sur la partie finale, tandis que les zones initiale et mediane subissent transformations considerable. Ainsi on peut relever les traits pertinents de differeciation des phrases contextuelles et isolees: le debit, le tythme,le niveau de ton.

Alalyse phonologiques des unites prosodiques. Les unites pros. – l’unite accent et la phrase, sont analyses au sous-niveau prosodematique. Les unites discretes du sous-niveau prosodematique sont nommees les prosodemes, qui se distinguent par les traits prosodiques pertinents. La quantite et les structures des prosodemes sont limitees, ells variant d’une langue a l’autre. K.Barychnikova ecrive : “Si le phoneme est une unite susceptible de differencier lesmots et leurs forms en exercant la function distinctive au sous-niveau prosodematique, le prosodeme, quant a lui, est une unite, du sous-niveau prosodematique, unite don’t la function consiste a differencier les unites plus grandes, notamment les phrases.

K.Barychnikova definit le prosodeme de la phrase comme une structure de traits prosodiques pertinents localizes dans, certains points de la phrase, plus precisement sur les syllables accentuees et les syllabesinaccentuees conjointes. Ces points peuvent etre rapports aux microprosodemes constituent le prosodeme de la phrase. Le microprosodeme realize au niveau de l’unite accent indivisible implique la difference de sens entre deux unites ayant la meme succession des syllables: 1. Sa toile / etait faite. 2. Sa toilette / est fait. L’intensite, la hauteur musicale et la duree se combinent generalement dans des proportions inegales ce qui constitue les caracteristiques particulieres des diff langues.

L’intensite est variable mais elle n’est jamais tres elevee par rapport a celle syllables inaccentuees, elle se realize dans les syllables accentuees qui sont meme les plus faibles lorsqu’elles terminent la phrase. La hauteur musicale monte quand la phrase n’est pas termine et descend a la fin. Les variations de hauteur appartiennent au systeme intonatif mais comme elle coincident avec le systeme accentual, on l’habitude d’associer ce role intonatif a celui de l’accentuation. Les variations de hauteur ne se realisent pas toujours de la facon sensible dans l’accent fr. Le role de la hauteur comme facteur de l’accent reste accessoire. Delattre, la duree, est le sul element qui soit toujours en exces dans la syllable accentuee. La duree est le seul des trois elements acoustiques qui soit etriotement lie a l’accent, soit toujours un facteur de l’accenf fr. Dans une phrase fr. C’est l’unite accent qui porte l’accent, mais ce n’est pas le mot. Delattre 3 traits permanents de relever les mots dans ce type de groupe rythmique: 1) les mots neperdent pas completement leur accent; 2) l’emploi de l’sccent d’insistance; 3) la modification de la tension de la consonne de liaison et d’enchainement.

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