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Приветствие и прощание в письме - копия.doc
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D) Confirmation – Передать подтверждение

Selon votre demande, nous vous envoyons notre accord

По вашей просьбе мы посылаем вам наше согласие

Nous avons noté avec intérêt…

Мы с интересом отметили …

Nous prenons bonne note de vos observations au sujet de…

Мы приняли к сведению ваши замечания по …

Nous vous saurions gré de nous confirmer que…

Будем вам признательны, если вы подтвердите, что…

Nous vous accusons réception de…

Подтверждаем получение …

E) Rappel – Напоминание

Nous désirons vous rappeler notre lettre du… par laquelle nous vous avions demandé de…

Мы хотим напомнить вам о нашем письме от …, в котором мы у вас просили …

Nous attirons votre attention sur le fait que nous n’avons pas encore reçu votre réponse à notre question/propostion…

Мы хотим обратить ваше внимание на то, что мы еще не получили вашего ответа на наш вопрос / предложение…

Nous nous permettons de vous rappeler que…

Позволим себе напомнить вам, что…

Nous sommes au regret de vous rappeler que…

Мы сожалеем, что вынуждены напомнить вам о…

Les erreurs les plus fréquentes

Mr ou M. ? Comment doit-on abréger “monsieur” ? Mr ou M. ?

Il s’agit sans aucun doute de l’erreur la plus souvent commise. En effet, la seule abréviation admise est “M.” Alors pourquoi rencontre-t-on si souvent ce fameux “Mr” ? Tout simplement parce que les abréviations se font de plusieurs façons et notamment par retranchement de la plupart des lettres et en ne laissant que les lettres initiale et finale. Exemples : bd pour boulevard ; fg pour faubourg. Il en découle que lorsque l’on ne connaît pas forcément les règles typographiques — voire orthographiques — des abréviations courantes, la tentation est grande et logique d’abréger “monsieur” par “Mr” et non “M.” ! Or “Mr” est strictement réservée à l’abréviation de “Mister” qui désigne un sujet britannique dans un ouvrage — que celui-ci soit écrit en langue française, anglaise, allemande ou encore... russe ! Exemple : Mister Bond. Remarque : dès lors, il n’est pas rare de rencontrer l’autre erreur classique d’abréger “Messieurs” par “Mrs” ! Cette abréviation désignant plutôt un sujet britannique féminin : Miss ou Mistress (Madame).

Les erreurs les plus fréquentes

 

Doit-on accentuer les capitales ? La réponse est : oui, oui, oui et encore OUI !

Orthographiquement, l’accent est obligatoire sur les capitales — le non professionnel parle alors dans ce cas de majuscules accentuées. Il n’existe pas d’autre règle prônant le contraire. Pourquoi alors, devrait-on les éliminer en typographie ? L’absence d’un accent sur une capitale ralentit la lecture d’un mot ou d’une expression entière et fait invariablement hésiter sur sa prononciation et même sur son sens.   Exemples :    UN TRES JOLI MODELE (modèle ou modelé ?)   LE VOLEUR TUE DANS SA FUITE (tue ou tué ?)   IL EST INTERNE DANS UN HOPITAL (interne ou interné ?)   J’AIME LES BISCUITS SALES (sales ou salés ?)   LE PALAIS DES CONGRES (congres ou congrès ?)   GISCARD CHAHUTE A L’ASSEMBLEE (chahute ou chahuté ?)   LES ENFANT LEGITIMES (légitimes ou légitimés ?)   L’AUGMENTATION DES RETRAITES (retraites ou retraités ?) Alors... Pourquoi ne le fait-on pas systématiquement ?

- Parce que certaines idées reçues ont la vie dure et qu’il est plus facile de croire à ce que l’on nous dit plutôt que de chercher à connaître la bonne règle ! - Parce que, à la fin du siècle dernier, les premières composeuses dans les imprimeries et les machines à écrire, d’origine anglo-saxonne, ne comportaient pas de capitales accentuées (la langue anglaise n’en comporte aucune). - Parce que pendant de longues années certains imprimeurs typographes, peu scrupuleux des règles en vigueur dans leur profession, éliminaient les accents des capitales afin de respecter plus facilement l’interlignage d’une composition. - Parce que l’on s’est habitué, dès lors, à ne plus “voir” de capitales accentuées et ce qui a pour origine un problème uniquement technique est devenue une “pseudo-règle” typographique que seuls les ignorants prônent encore ! Remarque 1 : cette situation n’ira sans doute pas en s’arrangeant car la plupart des polices (gratuites) que l’on trouve sur internet sont très souvent d’origine anglo-saxone. Malheureusement les accents courants utilisés en France y sont totalement ignorés. Si vous êtes graphistes téléchargez, si possible et de préférence, des polices correctement accentuées ! et... accentuez vos capitales ! Remarque 2 : quoi qu’en disent les gens qui “savent” mieux que vous — professionnel — et ceux qui ne trouvent pas ça “joli”, la préposition “à” en majuscule au début d’une phrase s’écrit donc obligatoirement avec un accent : “À”.   Exemple : À quinze heures cet après-midi... Remarque 3 : lorsque vous “oubliez” d’accentuer vos capitales ayez une pensée, non seulement pour les lecteurs français, mais aussi pour les étrangers déchiffrant notre belle langue sur des panneaux indicateurs ou des dépliants touristiques.

Les erreurs les plus fréquentes

Les numéros de téléphone 03.85.26.45.23 ou 03 85 26 45 23 ?

En France un numéro de téléphone se compose de 5 groupes de 2 chiffres TOUJOURS séparés par une espace (blanc). JAMAIS de séparation par un point ou encore un tiret. Celui-ci est précédé éventuellement de l’abréviation “Tél.” pour “Téléphone”.   Exemple : Tél. 03 85 26 45 23.   Et non : Tél : 03.85.26.45.23   Et encore moins : Tel. : 03-85-26-45-23Les erreurs les plus fréquentes

Deuxième ou second ? Le mot “deuxième” est employé lorsque l’énumération va (ou est susceptible de) continuer avec les mots “troisième”, “quatrième”... : la deuxième règle, le deuxième commandement, le deuxième équipier... Le mot “second” est employé uniquement lorsque l’énumération s’arrête en toute logique à deux : la seconde guerre mondiale (à notre connaissance il n’y en a pas eu de troisième), le Second Empire, la seconde mi-temps (il en existe bien une troisième mais elle est non officielle !) Les erreurs les plus fréquentes

2ème ou 2e, 1ère ou 1re ? Ce sont des erreurs extrêmement courantes. On les rencontre pratiquement tous les jours dans notre environnement visuel : à la télévision, sur les écrans de cinéma, sur les affiches 4x3. En gros, en gras, en couleur... soutenu par un horrible éclaté jaune fluo ! Il est bien entendu très tentant et, avouons-le presque logique lorsque l’on ne connaît pas la règle, d’abréger le mot “deuxième” par “2me”, “2ème” ou “2ième”, “première” par “1ière” ou “1ère”. Eh bien non ! Pas du tout ! Les règles typographiques à observer dans ces cas-là sont les suivantes :

1re 1res 1er 1ers 2e 2es 3e etc.

pour pour pour pour pour pour pour

première premières premier premiers deuxième deuxièmes troisième etc.

Remarque 1 : dans un titre dont les caractères sont tous en capitales il est obligatoire (c’est une règle typo) d’employer l’abréviation uniquement en bas de casse et en exposant si le logiciel de mise en page le permet. Remarque 2 : deuxième ou second ? Le mot “deuxième” est employé lorsque l’énumération va (ou est susceptible de) continuer avec les mots “troisième”, “quatrième”... : la deuxième règle, le deuxième commandement, le deuxième équipier... Le mot “second” est employé uniquement lorsque l’énumération s’arrête en toute logique à deux : la seconde guerre mondiale (à notre connaissance il n’y en a pas eu de troisième), le Second Empire, la seconde mi-temps (il en existe bien une troisième mais elle est non officielle !)