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Стилистика с Беликовой

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Стилистика с Беликовой.

10.09

qu'est le style

dans la st ling — configuration particulière de traits ling percus comme caractérisants le texte ou un ensemble de texte.

Dans la st littéraire le style est une configuration particuliere de traits linguistiques percus comme caractérisants le texte ou un ensemble de texte et comme possédant des qualités esthétiques.

Le style est très souvent envisagé comme un écart — отклонение, отдаление. Et peut etre défini par rapport à un norme statistique. Ce sont les formes les traits ou les tours plus ou moins remarquables par lesquels le discours s'éloigne du discours quotidien, courant.

Le style — un écart par rapport de l'usage commun.

P ex la lune — l'astre de nuit

l'écart peut etre défini comme une distance ou une rupture dans le temps. Par rapport à une norme qui parait archaique.

Style — un écart par rapport au contexte immédiat. La notion anomalie sémantique défait stylistique qui constitue une rupture dans le tissus du discours.

Histoire du style.

Le style apparait tout d'abord comme «bon style». C'est à dire expression qu'il faut imiter parce qu'elle représente un modèle garantie par une tradition. Modèle du bon style — les textes de références — les textes antiques.

Un beau language — il y a ausi des parlers vulgaires ou bas.

À cette dimension normative — une conception du style comme ornement. Cette variation formelle a été défini par la notion de l'écart. Écart — s'écarter de l'usage courant = le style plus noble.

  • le style — est un ornement formelle

  • le style — c'est un écart par rapport à la façon neutre de parler.

1655 — il y a un style simple, médiocre et élevé chaqun regard les matières de son niveau.

En français le mot style — la fin du 17 s et ce mot est sistématiquement employé au 18 s. Et ce mot est utilisé dans le domaine de la rhitorique et de la critique littéraire. Quant on prononce le mot style, on sousentend normativité, il faut enseigner la bonne manière de parler et la bonne peinture. Plus caractère ornemental — on parle de la forme et pas du sens.

Plus la notion de l'écart et au 18 écart — une manière individuelle. La main d'un peintre ou la plume de l'écrivain qui se reconnaissent à leur façon de créer des oeuvres.

Et encore on sousentend variation selon les circonstances. C'est que chaque sujet impose des formes particulières.

19 s. - notion du style — concept fondemental de l'histoirre de l'art et dans le domaine des arts de language le style — c'est un modèle imposée par la rithorique classique qui aboutit à ce que à la fin du 19 s la stylistique se substitue à la rhitorique.

Autour du mot style se constitue une méthode générale d'étude des productions artistiques.

Dénotation et connotation.

Dénotation — un sens stable et premier d'un mot sur lequel peuvent s'entendre tous les locuteurs d'une langue. Mais le mot peut être porteur du sens plus implécite, plus subjectif, qui sont liées souvent à la coulture et à la sensibilité du locuteurs. Et ce sont les connotations.

Например — вода, какой ее денотат? Денотат — открыть словарь и найти то,с табильное значение вода, которое описывается. Проблема — что оно полисемантично. 1 значение — физически объективное — жидкость без цвета и запаха.... сигнификат может совпадать с денотатом, если моносемичное. «говорите конкретно, не лейте воду» - вода в переносном значение — отклонение. Здесь появляется другой денотат , здесь нет сигнификата. Денотат — актуальное значение, исчисляемое из контекста.

Связь между знаком и конкретным предметом — это денотат в философском смысле. Но это не значит, что это исчерпывающее значение.

Mais la connotation — une nuance, un sens soufflé — c'est tout ce qu'un terme peut évoquer, suggérer, impliquer de façon net ou vague.

Si la dénotation — c'est une relation, qui unie une forme linguistique à une classe d'objet de ce monde réel, observable.

La connotation — un sens supplémentaire, un ensemble de valeur affective qu'un signe peut produire sur l'interlocuteur ou un lécteur.

P ex le terme muraille et mur. Muraille dénote une autre classe d'objet.

P ex une piaule '( administratif) — une maison - une demeure.

Désordre (neutre) — pagaille (familière) — bordel (vulgaire)

malpropre (soutenu) — dégeulace (familier)— sale (courant)

on attribue le sens affectif à un mot — connotation socioculturelle.

Les mots — un écho de l'histoire du peuple, de leur tradition.

P ex collaborateur — peut être négative à cause de l'occupation des nazis. Même aujourd'hui.

Touche pas à mon POT — pot = copain. C'était argo, et aujoud'hui — les enfants ditent ca.

Connotation appréciative — le choix du lexique et des connotations dont il est porteur.

Quand on choisit des formes grammaticales — peuvent etre des connotations diverses.

P ex l'emploi du subj plus que parfait — est un signe du connotation archaique. Je suis né romantique et j'eusse été fatal. ______

24/09/2014. 12:30 была норма la notion de norme au sens linguistique = la norme prescriptive pour beaucoup de français. Même sa désignation de la norme prescriptive relève d'un acte normatif. Le terme — bon usage, puis langue de références, français référenciel, 1960-x — français standart, et, finalement l'académie française a recommandé de remplacer le mot standart par norme.

Français normatif = le français standart.

Norme d'usage, la norme statistique — norme définie par le négative.

Bodo Muller propose de distinguer de différentes sortes de norme, et en français contemporain il distingue 1) la norme relative, ou situationnelle. Elle est définie par rapport à la situation du discours, elle dépend de la situation et fonctionne dans l'instant. La norme absolue (l'antonyme) — totalement indépendente de la situation de la communication. Et l'objectif premier est d'assurer l'intercompréhension la plus parfaite possible.

  • est définie par rapport au nombre de locuteurs. - individuelle et la norme sociale collective

  • par rapport à la validité., une norme préscriptive(idéale) et norme d'usage (la norme statistique).

Pour définir la norme il y a certaines tendences aujourd'hui. Les professeurs disent unaniment que différents types de norme s'interpénetrent et se diluent. Les professeurs se préoccupent d'avantage de mettre en disposition des élèves un outil de communication plutot que leur enseigner une belle langue. Le sens pédagogique de norme glisse de «norme esthétique» à «norme fonctionnelle». Et parralélement on assiste aujourd'hui à son éclatement du sense du mot norme esthétique. Il y a autant de normes que d'usages. De registres différents, de langues de spécialités etc.

Il faut savoir choisir un régistre approprié à la situation et savoir maîtriser les registres différents de la langue.

Toutes langues évoluent et le français évolue aussi et essentiellement par simplification et par des apports extérieurs. Certains phénomènes propres à la vie moderne sont générateurs de transformations. Tout d'abord les médias. Parce que ils font concurrence à l'écrit et servent de modèle. Deuxième facteur c'est la jeunesse qui crée une langue banissant les contraintes et la langue qui est surtout propre à exprimer la fantaisie des jeunes. Tels phénomènes comme l'abbréviation et verlain ne sont plus interdits, la langue des cités — la confusion des dialectes, des emprunts, tout ça entre à la télévision, à la littérature.

Les flauts migratoires — la langue française s'enrichie de multiples expressions venues des autres cultures. Et tout ces phénomènes en genrent les variations de la norme. Et parmi les causes qui font naître les variantes on peu nommer encore : l'influence des dialectes territoriaux et la loi du moindre effort.

Les variantes sont considérées comme normatives et interchangeables et peuvent être régionales, sociales, stylistiques, variantes sexuelles (genre masculin , féminin). Les linguistes se préoccupent de question entre variation et changement. Les linguistes disent les deux s'éffectuent d'après les mêmes schémas linguistiques ou extralinguistiques et on distingue 2 types de variantes — totales(il y a de différences formelles mais la signification et la fonction de cette unité linguistique coincident) et variantes partielles ( les différences formelles ainsi que les changements de sens ou changement de la sphère d'emploi). Selon Françoise Gadet il y a 6 types de variation.

  • la variation régionale. P ex les e muets en finale dans la partie méridionale de la France. Ou des régionalismes grammaticaux p ex dans les régions de Lion, Grenoble, Bourgogne — le beaujeolé, j'y aime au lieu de je l'aime. En Alsace — j'ai personne vu = j'ai rien vu.

  • Variation sociale — le principe est que le représentent de différentes classes et groupes sociaux possèdent leur langue particulière. La sociolinguistique étudie la différenciation linguistique en fonction des classes sociales. P ex il y a du monde = y a du monde, qu'est ce qui'il veut = il veut quoi?.

  • Variation temporelle ou diacronique.

  • La variation sexuelle (sexiste), cette variation n'est pas accentué dans la société fr — Francoise Gadet.

  • Variation en fonction de l'âge

  • variation éthnyque — porte un caractère bien exprimé parfois.

Le français contemporain au niveau syntaxique et morphologique tent à une simplification de la langue selon les principes d'économie. Les formes verbales complexes ou les formes surcomposés sont de moins en moins employés. Le système de subordination se simplifie. On a tendence à remplacer les subordonnées par de simple complément et remplacer les complétives par les infinitives. De façons générales la phrase simple tent à se substituer à la phrase complexe.

Beaucoup de linguistes croient que l'usage — c'est le critère de la norme. À son époque Séneque a dit quand une faute devienne commune elle devienne une règle.

Et dans le français d'aujourd'hui il y a beaucoup de variantes de prononciation etc qui sont accepté comme usage.

P ex acheter bon marché = acheter à bon marché.

Au point de vue de qch = du point de vue.

Ce n'est pas de ma faute = ce n'est pas ma faute.

Faire connaissance avec = faire connaissance de qn= faire la connaissance de qn

prfesseur hors de paire = professeur hors paire

nous sommes à lundi = nous sommes lundi

travailler à Paris = travailler sur Paris = être dans Paris.

Remercier de qch = pour qch

vivre de ses rentes = vivre sur — faute. Arrêter de fumer = cesser de fumer

etre en manche de chemise = etre en bras de chemise

la courbature( сжатость) corbatu = courbaturé — très fatigué

ananas- ananas

aout — aout

la norme d'usage c'est une forme de la langue, qui se régularise d'elle-même, et que la plupart de locuteurs pratiques ou du moins reconnaissent comme le moyen de communication normale. C'est unanimité sur la valeur de ce registre qui a de l'importance.

Les sociolinguistes envisagent la conformité à la norme comme un moyen qui permet à l'individu de se situer vis-à-vis d'autruis. Selon les sociolinguistes la connaissance de la norme est une condition essentiel de la liberté du citoyen.

L'établissement de la norme peut avoir les connaissances idéologiques. Parce que dans la philosophie linguistique il est considéré que les structures linguistiques, ou la langue peuvent conditionner les structures de penser. C'est à dire que la vision du monde peut-être uniformisé et manipulé par les contenus linguistiques. Ce n'est pas le hasard fortuit que les état emploient la langue pour manipuler l'opinion des masses. P ex les emprunts à l'anglais, la langue des jeunes empreinte abusivement à l'anglais. C'est pour des causes idéologique que les puristes ne veulent pas emprunter — l'indépendence de l'USA.

Qui établisse la norme? Les grammériens, les lexicographes: laxistes et puristes.

Ils sont séparés par les modérés. Les institutions officielles et semi-officielles. P ex l'académie Française. un vrai raiseau, destiné à controler et normaliser la langue fr — les différentes académies, conceil international de la langue française, l'association fr de terminologie, association de défence de la langue française, le journal officiel de la République qui indique les normes lexicales du français à tous les citoyens.

La base de la norme prescriptive est toujours un modèle linguistique tiré du passé pour corriger la langue présente et la langue à venir.

La norme d'usage est à la base de la communication linguistique existe à chacun de ces niveaux, c'est une réalité linguistique collective. C'est la communauté qui précise les règles et la régularisation se fait d'elle-même parmi le locuteur. Le français tel qu'on parle aujoud'hui résulte de l'influence réciproque du français parlé par la majorité des français et du français parlé dans la capitale.

  • 12:30 language administratif продолжение l'emploi du mot cadre = un individu — la retraite d'un cadre. Encorir des responsabilités (normalement des risques au lieu de responsabilités) la mise en place d'une mesure ou d'un règlement ou d'une reforme. La question s'est posée au conseil de savoir si ... = le conseil s'est demandé si... j'aimerait à être tenu informé.

Je ne maquerai pas de vous tenir informé. L'emploi du personnel placé en tête de la phrase qui rend l'effet d'anonymat. P ex il sera procédé à une vente. Il m'a été signalé. Il est ouvert un crédit. Il est attribuer à toute femme en état de grosesse une alocation prénatale. Parfois c'est l'actif avec on. On ne doit perdre de vue etc.

Une allocation est attribuée.. - le sujet la constante inversion du sujet. p ex Ont droit au bénéfice ... sont punis d'une amende... --- il n'y a pas d'effet. Use de nombreuses précotions oratoires: p ex pour annoncer une mauvaise nouvelle — je crois devoir vous signaler... j'ai le regret de vous informer les périphrases: les économiquement faibles, les aménagements fiscaux = les impôts. Les clichés Procéder à un large tour d'horison. Envisager des mesures attacher du prix ou attacher de l'importance. Les pléonasmes il est formellement défendu après autorisation préalable en aucun cas et sous aucun prétexte exclusivement réservé une identification exacte les phrases trop longues, lordes la construction provient de la longuer démésurée des phrases et la construction en cascade. L'emphase superflu — j'ai l'honneur de vous informer. STYLE JOURNALISTIQUE les masses médias se subdivisent en visuels ou écrits (presse périodique), audio, audio-visuel. Leur fonction se distingue, mais les MM s'unissent en sistème de la communication de masses et parmi les fonctions des masses M on distingue - fonction d'information

  • commentaire et dévaluation

  • fonction d'instruction

  • fonction d'influence

  • fonction hédonisme

transmettent l'information de toute sorte. Selon les buts de la communication on distingue les types différents d'information:

  • l'information objective logique (intellectuelle, descriptive, factuelle, mais ce type d'information n'est pas lié à la situation et aux participants de la communication.)

  • pragmatique (évalue un phénomène, le but — influencer le récepteur) la caractéristique la plus importante de discours dans le domaine journalistique est la cathégorie de champ d'information. L'espace d'information embrassant un tel ou tel volume de fait et d'évenement du monde réel representé par un répertoire de sujet. C'est une cathégorie axiologique (sience des valeurs, parce que elle est liée à la notion de la norme de l'information). En principe les masses médias doivent donner l'information de tous les fraguements possibles de la réalité. Mais c'est impossible parce que le champ d'information est toujours restraint, c'est restriction peut avoir un caractère instituontalisé p ex l'interdiction de divulguer les secrets d'état. Ou ils peuvent avoir le caractère convinctionel — le champ correspond à un norme admise. Comme n'importe quelle profession, la profession de journaliste possède ses règles déontologiques.

La déontologie — ce sont les règles de l'éthique professionnelle. La déontologie de la presse est étroitement liée à l'étude de lexique axiologique dans le language journalistique.

Les critères de sélection, utilisées pour transformer l'information - l'information doit être neuve et le contexe habitue et crédible.

  • la préférence au conflit. (parce que les destinataires eprouvent une tension psycologique ce qui incite leur intéret, il est aussi recommendé d'attirer l'attention par l'indication de la quantité. P ex empoyer des chiffres ou des comparaisons)

les tics spécifiques au styles journalistique - l'inflation des mots. Le journaliste gonfle l'effet en utilisant le vocabulaire hyperbolique pour faire du sensionnel, spectaculaire.

  • la tendence à flatter les bas instincts du lecteur.

  • L'emploi de périphrase redondante (synonimique).

  • L'emploi abusif de l'euphemisme par ce qu'on n'ose plus dire les choses comme elles sont.

  • Construction des phrases par juxtaposition

  • pléonasmes (tragédie fatale)

  • les clichés redondants (au jour d'aujourd'hui)

  • l'ommission — certains sujets sont peu ou mal traités en raison des préjujés anciens ou des tabous. P ex en France pendant les années 60-90 on n'a jamais enquété sur le campagne éléctorale ou la corruption et le dopage dans le sport proffessionnel.

  • Pseudo-information. Parce que trop de nouvelles sont fabriqués par ceux qui en profitent.

  • Reclame cachée

  • le simplisme — l'abut de stéréotipes — faire vite et d'amuser.

  • La division en bon et mauvais

  • la présentation de petits événements en forme d'une absurde mosaique.

  • L'esprit de clocher — не видеть дальше собственного носа. p ex querelle de clocher — внутренние споры. Il n'a jamais vu que son clocher. Les médias s'occupent avant tout de l'actualité locale et régionale.

Langue de presse. Est assez spécifique car il possède ses propres règles et influence même la langue littéraire ainsi que la norme. Dans la presse la langue joue le rôle principale, plus que dans les autres médias parce que sa forme écrite y représente un moyen essentiel de la communication. La langue de presse a ses propres objectifs et fonctions, ses règles et possibilités spécifiques. On peut parler de l'esthétique particulière de la langue de presse. Des changements considérables dans la structure de la langue de presse sont conditionnés par sa tendence de s'éloigner du language sec, officiel, et lifresque, uniformalisé et dépersonnalisé.

Une autre tendence est actuelle aujourd'hui celle de formuler une idée , construir un message sans prendre en considération la tradition. En partant seulement du caractère du message et en évitant les formes stoqués du language. La langue de presse recours souvent aux unités familières, populaires et des jargons afin d'éliminer le caractère lifresque officiel. Le jargon journalistique désigne un parlé du type sociolectale propre aux représentants d'une profession ou d'une activité. °°°°°°°°° 22.10.2014 Le jargon Le groupe professionnelle crée des mots qui reflètent une expérience particulière de la réalité. Et en cela le jargon incorpore en lui-même l'identité culturelle du groupe.

Les fonctions du jargon: - Économique

  • identitaire - ludique (игровой) parfois les mots professionnels sont souvent connotés. La création lexicale est motivé par des préférences propres aux domaines professionnelles. Certaines expressions sont humoristiques et parfois des termes jargonneux permettent de s'amuser avec le language. Technolecte — aussi bien que le jargon remplit la fonction économique. Mais il n'a pas de fonction identitaire ni ludique. Le technolecte est un moyen d'exprimer des réalités objectives, spécialisées, sans aucune connotation. Le technolecte — recours à la terminologie officielle. Alors que le jargon crée ses expressions propres. P ex les jargonismes jurnalistiques — à la une, une pigiste extérieure (внештатная сотрудница), l'image fait le bonheur des gazettes(имидж приносит успех газетам и газетенкам). Un scoop(эксклюзивная новость). L'ours' (выходные данные газеты). Les cigles, les abbréviations — hebdo, rédac chef, édito, en pro de la com (профи сми). La norme de langue de presse. - est très vaste. La norme est plus tolérante envers le lexique non-littéraire. Les critiques constatent une baisse brusque du niveau de l'état de la culture languagière des journeaux. Les causes principales — l'apparition des gens mal-formés, l'élargissement des limites de la langue littéraire et l'absence de la censure intérieure. L'aspect normatif dans la langue journalistique est très important parce que elle influence beaucoup, forme des gouts linguistiques et même des normes littéraires.

L'emploi des moyens linguistiques dans la langue journalistique est définie par leurs qualité et capacité socio-actiologique (science des valeurs).

La valorisation sociale des moyens languagiers se présentent comme une particularité essentielle du style journalistique. Cette valorisation sociale se manifeste sur tous les niveaux du language. La valorisation comme aspec actiologique de la signification peut être exprimée de différentes façons. Elle est liée aux domaines de médias et parce que la presse envisage un fait objectif sous différents angles subjectifs, la valorisation des mêmes faits, mêmes phénomènes sociaux, peut se varier. Mais en parlant de la langue de presse la valorisation signifie un rapport aux sistèmes de valeurs, admises dans la société. C'est à dire qu'un journaliste rédigeant un article se propose un but essentiel pas seulement informer, mais de dévaloriser un fait dans son article. Cette valorisation ou dévalorisation se manifeste par les choix lexicaux. Ces choix se subdivisent en 4 cathégories qui peuvent être reparties en 2 groupes — explicites et implicites. Les choix lexicaux explicites — les suffixes, généralement péjoratifs p ex le verbe trainer devient traînasser ou trainailler. Parler — parloter, jaune — jaunatre ou jaunasse. Les choix implicites — les signifiants lexicaux p ex l'emploi des mots tels que imbécile ou génie. Superbe ou affreux. Les registres de langues sont différents — demeurer et barrater.

L'emploi des termes objectifs — le lexique neutre, mais qui se charge en fonction du contexte de significations actiologiques diverses. P ex parler — il a parlé nous savons ce que nous devons faire

  • tu parles, parles — c'est tout ce que tu sais faire.

Emploi des figures de style. P ex l'emploi des métaphores, des comparaisons qui peuvent se charger d'une forte valeur actiologique. P ex il s'est battu comme un lion. Il s'est enfuit comme un rat.

Les moyens explicites sont plus rares que les implicites.

La notion de dénotation et de connotation sont liées à la dimension actiologique, la dénotation exprime un caractère factuel et informatif du discours. Et la connotation se manifeste par des éléments lexicaux ou discoursifs. La connotation possède un caractère évaluatif. Les moyens explécites sont rares dans le discours journalistique, mais une fois employé, cette unité explécite comporte le sens dévalorisant ou valorisant qui résulte de ses composants. P ex le mot journaleux , le suffixe péjoratif — connotation négative. Ferroiller — неумело фехтовать на шпагах, горячо спорить.

Rarissime — connotation positive et d'exclusivité — редчайший случай.

Faiblard — satirique — слабенький

une brochette — горстка

la valorisation du point de vue linguistique — c'est un des traits sémantiques exprimants une appréciation en fonction d'attitue d'un sujet envers un objet exprimé d'une manière verbale. Ce trait sémantique peut s'approprier par tous niveaux de la langue — affixes, mots, propositions, textes. L'unité centrale de la valorisation est un mot. Et ce sont des composants de la structure des mots qui peuvent être pourteurs d'une signification négative ou positive valorisante ou dévalorisante. Dans la langue française une signification négative peut se manifester dans les mots à signification péjorative avec les suffixes — ard --- chauffard, zonard, politicard, philosophard. - asse — écrivasser, paperasse,

  • aille — politicaille, prêtraille.

Le style journalistique — un des styles les plus ouverts dans le sistème des styles fonctionnelles de la langue. Il est ouvert aux éléments des styles scientifiques et littéraires, aux moyens du language courants et familiers de même que certains moyens stylistiques comme p ex trope y trouve son expression. Ce caractère ouvert s'exprime avant tout par les facteurs extralinguistiques dont le plus important est la diversité des sujets. Les facteurs introlinguistiques qui conditionnent ce caractère ouvert du style linguistique — c'est surtout l'image de l'auteur qui séléctionne les moyens linguistiques pour réaliser sa tache créative. D'après les linguistiques la particularité essentielle de style journalistique est l'altérnance entre l'expressivité et le standart. Au sein du style journalistique on distingue des sous-styles

  • informatif

  • publiciste.

Le sous-style informatif comprend des genres informatifs. P ex la brève — une information très courte. Le filet — заметка. L'article, le compte rendu- отчет, le dossier, l'enquête, le reportage,, l'interview.

Sous-style publiciste englobe des genres de commentaire — p ex éditorial — редакционная статья, la critique, la cronique, la tribune libre — мнения читателей, courrier des lecteurs, les marroniers — дежурная статья на опр тему, которая возобновляется каждый год, la rubrique des chiens ecrasés — скандальная хроника.

Le sous-style publiciste possède ses propres particularités. Il dispose d'un vocabulaire spécifique, il forme ses propres conceptes par ce que ce sous-style se caractérise par une appréciation déclarée ou cachée, qui dépend de l'echelle de valeurs de l'auteur ou de l'édition. Dans le discours publiciste on voit les moyens du jeux de langue, la création du contexte verticale par des situations et l'ironie omniprésente. Il faut comprendre que la valorisation — c'est un trait universelle du style journalistique et elle ne se limite pas au sistème lexical, mais elle transperse tous les niveaux des textes journalistiques. P ex la valorisation se manifeste dans la séléction et la classification des faits et des phénomènes de la réalité. Leur présentation et leur description dans la proportion des éléments négatifs et positifs dans l'emploi des moyens linguistiques spécifiques.

L'échelle ou le barème des valeurs c'est aussi un des composants de sous-style publiciste. Et le plus souvent ce barème de valeurs se base sur l'opposition — le sien et etranger. Et c'est ce barème de valeurs qui décide du choix des moyens évaluatives dans les textes de presse. Ces moyens peuvent être proches de sens, mais opposés par connotation stylistique.

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28.10.2014 language de publicité — texte et discours non littéraire le language de publicité a des elements essentiels: - ce qui évoque l'image (inventaire de signifié)

  • inventaire de signifiant - tous les aspects observables de l'image qui mettent en valeur tel ou tel signifié.

  • L'aspect linguistique et iconique sont à la fois redondants et synonimes par rapport à l'autre. Il y a une intersection du message linguistique et iconographique.

  • Différences symétriques entre les deux messages. - le message iconographique bien qu'il soit redondant mais il porte une contenu originale — absent du message linguistique et vice-versa.

L'impératif publicitaire consiste à faire vendre le produit en faisant le lecteur accédé(приблизиться, приступить) à qch.

Porte le caractère sociale — à la fois être comme tout le monde et ne ressembler à personne parce que vous avez toujours l'insistance sur les marques de distinction, du prestigue, du succès mondiale. Le produit est déjà possédé par tout le monde — garantie de la qualité. + marque de prestige. Le lecteur se trouve jeté dans un paradoxe sociale — être comme tout le monde et ne ressembler personne.

La fonction linguistique du texte publicitaire peut être vue de 2 cotés

  • la fonction d'ancrage (якорит) — aide à identifier les éléments de la scène et la scène elle-même. Parce que toute image est polisémique. Dans sa fonction d'encrage le language permet que la partie iconique d'une image supporte plusieurs lectures sans danger d'égarement du lecteur.

D'autre part le language dirige le lecteur dans le choix de signifié nécessaire pour la compréhension de la publicité.

  • Fonction de relais. (оттягивание на себя) — quand cette fonction est présente ---- l'image et le texte publicitaire dans un rapport complémentaire. Le language a pour but de disposer dans la suite des messages des sens qui ne se trouvent pas dans un ensemble iconique. si la fonction est privilégiée, l'information devient plus couteuse parce que elle nécessite l'apprentissage du code linguistique (de la langue).

Les fonctions connotations du texte publicitaire.

La force persuasive du texte publicitaire ne réside pas seulement dans les unités linguistiques qui désignent et connotent les qualités du produit offert. Cette force provient aussi des signes qui s'adressent plus directement aux consomateurs virtuels. Des signes qui font références aux producteurs ou vendeurs qui veut gagner le consomateur et en parlant de connotation du texte publicitaire on sousentend les implications sociologiques, socioculturels, historiques du language. Parmis les fonctions-connotations

  • connative-appelative --- cette fonction primordiale, celle de la persuation à l'achat. Consiste en tout ce qui de manière implicite fait appel au récepteur du message en lui demandant un certain comportement. Cette fonction du language trouve son expression surtout dans l'impératif.

  • Fonction — phatique. Les moyens graphiques, accoustiques, les écarts de la morphologie de la syntaxe normale. Donc tous les moyens qui retiennent l'attention par la déviation conciente du norme moyenne.

  • Fonction référentiel (objet réél d'un mot) — c'est cet objet, dont la publicité parle. Cette fonction peut être présente soit par extention et alors la desctiption et le récit publicitaire ont pour tache d'informer plus largement sur l'objet, d'en prouver les bonnes qualités. Soit par réduction, parfois le seul nom de la marque combiné avec une image peut suffir surtout si la marque est imposé sur le marché.

  • Fonction poétique. L'utilisation des moyens stylistiques, des procédés phonétique, de la syntaxe affective dans un texte publicitaire afin de créer l'effet de l'unicité (уникальность) de ce produit. L'emploi des onomatopés, des allocations.

  • Connotation émotive-évaluative. Les connotations qui expriment une attitude vraie ou feinte du sujet parlant face à l'objet du message. L'utilisation des mots forts ou même les invectives , des formations diminutives ou augmentatives ou même l'utilisation des mots à première vue neutres, mais qui trahissent une attitude des publicitaires. P ex — c'est pour vous. Nous avons pensé à vous. C'est pour votre travail, pour votre chien. --- connotation le soin perpétuelle que le producteur porte au bien-être de ses clients. P ex modularité, flexibilité, --- la terminatison té dans les parenthèses ---- avez vous remarqué coincidence — non, car ce qui rend la nouvelle toyota — c'est précisément la variété.

  • La connotation métalinguistique - les indices implicites d'un énoncé qui renseigne sur le choix d'un certain code (registre languagier) ou le choix d'une langue, ou d'un sous-code de cette langue p ex dialecte, patois, sociolecte, jargon, argo, language spéciale, sientifique, -- toutes les diversités d'une langue demandés par la situation et moyens favoris pour gagner le public est l'emploi de mots et d'éléments linguistique qui s'écartes du language quotidien. P ex le nom à consonnance étranger double la valeur d'un objet, le prestige des sciences et de la tecnique est aussi largement utilisé dans le texte publicitaire, surtout cela concerne le nom de marque qui est souvent création fantaisiste de nature pseudo-scientifique. L'élément savant grec ou latin, l'élément exotique, un mot étranger, surtout anglicisme, ou un dialectisme — tout cela sert à créer une atmosphère hors de commun.