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kostroma.doc
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  1. На сковородке.

Le plan général de la batisse de Kostroma a été élaboré à St. Petersbourg et revoyait 3 ensembles : administratif, commercial et l’ensemble de concile. L’ensemble commercial comprend actuellement les galeries de marchands : Galeries Rouges, de Tabac, de Farine, de Poisson et de Kwas ( c’est un mot typique russe, qui signifie une boisson russe habituelle). Toutes les galeries ont été construites au 17-19 siècles. En 1830 la ville regorgeait de marchandises. Elles occupaient un large espace entre la place centrale et la Volga, chacune portant le nom de la marchandise à laquelle elle était affectée : galeries de la farine, grande galerie, petite galerie, galerie du miel, du sel, du tissu etc. Le commerce a été d’ailleurs l’activité majeure de Kostroma qui possédait au 17 siècle des galeries en bois et comportait plus de 700 boutiques. Chaque arche correspondait à un magasin : boutique au rez- de- chassée, dépôt au sous-sol, salle de service à l’étage, tandis que le commerçant avait sa maison sur l’avenue Sovetsakaya. Aujourd’hui la partie ouest est occupée par le marché, très animé. Le marché a lieu tous les jours, sauf le lundi. En se promenant ici, on peut apprécier le grand contraste entre l’agitation diurne du marché et le calme du soir. Les perspectives sur ces colonnades blanches sont rejouissantes et les romantiques peuvent passer jusqu’aux points de vue sur le fleuve. Les boutiques proposent une grande variété de souvenirs (matriochkas, oeufs peints, samovars, accessoires et, particulierement, des articles en lin, specialité locale).

Там же

Le centre de composition de la place centrale est la Tour de Pompiers. Elle est construite au début du 19 siècle. C’est un excellent monument de l’architecture civique du classicisme. C’est la meilleures tour de pompiers de la province russe. Elle a une grande importance pour la ville. Elle domine toute la place centrale. Elle servait de tour de guet. On peut monter à la tour. D’ici on voit tout le centre de la ville, les quartiers voisins et même la Volga.

Au bout de la rue centrale celle de la galeries rouges, les coupoles et les toits verts annoncent l’église de la Trasfigurations du Sauveur (Spasso Preobrajenskaya). Le clochet, postérieur à l’église, édifie à la même époque que les galeries, domine l’ensemble des constructions. Près de la galerie marchande et de l’église de la Pentecote (Troitskaya), on pourra admirer une superbe maison qui abrite aujourd’hui le tribunal régional. Batie par un riche marchand Borissov, elle présente un style classique à colonnes, tel qu’on l’appréciait au XVIII siècle.

  1. Le Monastère de l’Epiphanie est fondé au 15 siècle. C’est le premier edifice en pierre à Kostroma. Pendant l’occupatin polonaise le monastère est occupé et pillé. Plus tard il est reconstruit, mais perd son aspect inicial, devient partie de la cathédrale et prend son aspect actuel. Ajourd’hui la cathédrale de l’Epiphanie se compose de deux parties : église rouge avec des coupoles sombres et la cathédrale blanche du 19 siècle. Ici se trouvent la résidence de l’évêque de Kostroma, le séminaire, des ateliers de fabracation des vêtements d’églises et ceux de peinture d’icônes, une imprimerie. La principale chose sacrée de la cathédrale est l’icône miraculeuse de la Sainte Vièrge Fedorovskaya qui date du 13 siècle. C’est la plus ancienne oeuvre de la peinture d’icône. Elle est respectée comme protectrice de la ville. C’est la copie de la célèbre icône bizantaine de la Sainte Vièrge de Vladimir. La ville de Vladilir a été devastée par les tatares qui n’ont pas ménagé cette icône. En enlevant le châssis précieux de l’icône, ils ont abimé l’ancienne peinture. On a voulu la restaurer, mais en vaine. Voilà pourquoi on a décidé de faire sa copie. D’après la légende c’est le soldat Fedor Stratilat qui a apporté l’icône. Le prince kostromien Vassily Yaroslavitch chassait dans la forêt et a vu cette icône dans un arbre. Il a essayé de l’enlever, mais une force invisible l’a fait décoller. Un prêtre seul a réussi à l’enlever et l’a apportée à Kostroma. De ce moment-là il existe la coutume de prendre cette icône par les mains d’un prêtre.

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