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Список использованных словарей

38. Гак В. Г. Новый французско-русский словарь / В. Г. Гак, К. А. Ганшина. – М.: Рус. яз. – Медиа, 2003. – 1195 с.

39. Dictionnaire étymologique français [Электронный ресурс]. – Режим доступа: http://www.cnrtl.fr/etymologie/

Список источников примеров

40. http://www.dailymotion.com/video/x1krjk_orleans-tv-reportage-france-3_news

41. http://www.tv5.org/

42. http://www.youtube.com/

Приложение А

Présentateur: Vous avez pensé à vos racines, Zidane, à votre papa qui avait grandi dans cette maison sans électricité?

Zidane: Je pense tout le temps, je pense tout le temps à mes racines, à mon papa, à ma maman parce que c’est eux qui m’ont guidés, qui m’ont montrés un chemin à suivre. Je trouve que cette mixité, en fait, que j’ai faite, est géniale, quoi, parce que c’est ce qui vous enrichi, quoi, et moi, mes parents étaient important pour moi. Alors, c’est peut-être un petit peu compliqué de me rendre en Algérie anonymement et...

Présentateur: Le cœur, le cœur est là-bas.

Zidane: Oui.

Présentateur: Les Algériens sont merveilleux, ils vous attendent dans leurs cœurs chaque fois quand ils vous rencontrent. Vous faites partie finalement de la fierté, finalement de leur fierté.

Zidane: Oui, oui, je le ressens tous les cas chaque fois enfin, je reçois les messages de sympathie parce que c’est venu de toute l’Algérie, de tout Kabelli, en fait, bon, je suis soutenu par tous les Algériens.

Présentateur: Oui, et la Fondation Zidane avec votre papa?

Zidane: Oui...

Présentateur: ... qui a aidée les régions algériennes.

Zidane: Oui, on a ouvert la Fondation en Algérie. C’était le meilleur moyen, en fait, pour qui puisse réaliser tous les projets, qu’il a en tête, en fait. Mon père, il est parti, il est parti très tôt de cette région-là pour venir travailler. Il est parti pied nu vers la France pour venir travailler. Donc, le fait de revenir 50 ans après...

Présentateur: C’étaient les images merveilleuses, formidables quand la Fondation aide les enfants cancérés malades, les enfants cancérés condamnés...

Zidane: Oui, papa avait une seule envie, c’est pouvoir faire des choses là-bas. Et cette Fondation permet de pouvoir justement faire certaines choses: d’aller aux hôpitaux... Faire beaucoup de choses - c’étaient les soins de papa.

Présentateur: Oui. C’est pour ça que Zidane aujourd’hui, vous êtes tellement engagé, vous êtes ambassadeur pour le développement des préventions unies, vous êtes évidemment là pour aider les personnes étant dystrophique. Vous êtes d’origine d’Aixe-en-Provence où des enfants de toutes les origines peuvent venir pour pouvoir faire du sport. Vous avez envie de rendre ce que la vie vous a donné?

Zidane: Oui, je répète beaucoup de fois que j’ai envie de faire beaucoup de choses, et je le fais.

Приложение Б

Présentateur: On aborde aujourd’hui l’aspect sanitaire. Michel Simos a accepté notre invitation. Vous êtes medecin, vous emmenez le magazine de la santé sur TV5. Quatre réacteurs de la centrale sont gravement accidentés, les travaux de réfection, dont on a parlé, ont été effectués mais interrompus à cause du niveau de la radiation trop élevée. Aujourd’hui quels sont les risques?

Michel Simos: Les pompiers qui travaillent à l’intérieur de la centrale sont subis des risques de la radiation. Les risques pour la population à partir du moment sont faibles, on l’a évacuée en rayon de 30 kilomètres ou un petit plus. Les risques pour la population sont assez faibles effectivement on n’a pas de données très, très précises, mais les risques sont pour des personnes qui travaillent au sein de la centrale et là le risque est très important parce que la maladie aiguë des rayons et pour simplifier, si vous voulez, le plus dramatique. La moelle osseuse est une usine de fabrication de toutes les cellules sanguines. Quand cette moelle osseuse ne fonctionne plus suite à la radiation, vous n’avez plus de globules blans, vous attrapez toutes les implications dramatiques. Vous pouvez mourir. Vous avez plus de globules rouges. Vous avez une anémie, vous saignez donc. Vous n’avez plus de plaquettes qu’attend le cerveau etc. Oui, les conséquences sont dramatiques.

Présentateur: Cela concerne le personnel qui travaille avec les réacteurs. Vous avancez tous les risques pour la population évacuée à 20, 30 kilomètres?

Michel Simos: Toute la population a été évacuée au delà de 30 kilomètres parce qu’on peut vraiment avoir la maladie aiguë à cause des rayons. Et très, très proche de la source avoir la radiation très importante.

Présentateur: On voit pour ce moment la ruée vers l’ïode et les comprimés qui protègent contre la radiation. Existe-t-il les risques à prendre ce genre de pastilles? Que ce n’est pas nécessaire parce que c’est le cas notamment dans la pharmacie. Les stocks sont complétement à plat par ailleurs aux Etats-Unis. Est-ce que c’est utile?

Michel Simos: Vraiment, ce n’est pas utile. Ça se passe affolant, complétement irrationnel et ridicule d’aller prendre de l’ïode aujourd’hui, d’abord parce qu’on rappelle l’ïode est pris pour saturer la thyoïde en ïode. On doit le prendre une heure avant l’arrivée dans la nuage radioactive et c’est efficace pendant une journée ou deux. Et surtout prendre de l’ïode aujourd’hui c’est vous exposez sur dosage d’ïode et la thyroïde, elle peut s’emballer, c’est-à-dire surpasser en carburant. Vous prenez le comprimé de d’ïode dont vous n’avez pas besoin. C’est une folie. Vous secrétez trop de hyperthyroïde. Ridicule d’aller acheter des comprimés d’ïode, on espère que les autorités vont distribuer ïode si un jour on en a besoin. Mais quand même c’est loin du Japon.

Приложение В

Présentatrice: Poitiers a vécu des heures de violence inabituelle hier soir. En fin de l’après-midi la manifestation organisée par le collectif anticarcéral a tourné à l’émeute. 200 personnes cagoulées et masquées qui ont vandalisées les magasins, ont tagées les édifices et affrontées la police. Hier le public était nombreux au centre-ville pour assister aux différents spectacles du festival «Des expressifs». Beaucoup ont été choqué. Autour de ces événements avec Philippe Voisin.

Journaliste: Il était 16.30. Ce samedi lorsque 200 personnes se sont rassemblées devant l’Hôtel de Ville de Poitiers. Un collectif auparavant pacifique appelait à manifester pour dénoncer l’univers carcéral. Mais très vite la violence a été perceptible, les manifestants cagoulés et armés de bâtons ont semé la terreur au centre-ville, jettent les pierres dans les vitrines et les abribus, tagent sur les monuments publics et religieux, incendient des poubelles devant des passants choqués.

Passant: Crier, crier. Crier beaucoup. C’est gens avec de petits bâtons comme ça qui balançaient dans les magasins.

Passante: Ils avaient des tissus sur eux, des masques, toutes ces choses-là. On a retrouvé des massettes, on a retrouvé des burins, on a retrouvé quelques étendards. Tout était sur place.

Journaliste: La police surprise par la gravité de ces événements parvient à rétablir le calme et à éparpiller les émeutiers après une heure d’affrontements. Dix-sept personnes ont été interpellées et placées en garde-à-vue. Dans la soirée, les services municipaux et les pompiers sont intervenus pour nettoyer les rues et éteindre des incendies. Deux blessés légers ont été rapidement soignés: un employé de commerce et un policier. Les dégats matériels sont considérables.

Présentatrice: Au lendemain de ces violences, on sait un peu plus sur la façon des procédés des manifestants. Pour la police ces émeutes étaient soigneseument préparées et sont loin d’être des débordements incontrôlés. Une cachette a été retrouvée dans un des parkings du centre-ville, certaines techniques démontrent une habitude des manifestations violentes. Dominique Pluget.

Journaliste: «Des manifestants ultraorganisés et hyperpréparés» - c’est le constat partagé aujourd’hui par tous les pouvoirs publics.

Alain Glayes [Député-maire PS de Poitiers]: Ce mouvement était ultraorganisé, des choses étaient stockées. Ils ont agi avec une très grande rapidité.

Journaliste: Comment a pu passer la manifestation anticarcérale étendue de 80 personnes à un cortège de 250 manifestants? Il y a aussi une des questions d’organisation. Des tracts diffusés au début de la manifestation précisaient même la conduite à tenir en cas d’arrestation.

Tract: En cas d’arrestation fait tout pour te faire remarquer par les autres manifestants et gueule ton nom (ça aidera la légale team pour la suite…); tu peux essayer de t’échapper de l’étreinte des flics mais quoi tu fasses fait gaffe à ne pas aggraver ton cas… (si t’es assez malin et attentif, tu peux toujours éviter les mailles du filet policier!!!)

Bernard Tomasini [Préfet de la Vienne]: C’est ainsi, c’est au début de la manifestation, donc nous avons réagi immédiatement puisque les forces de l’ordre sont passées à une trentaine au début à plus d’une centaine dès le milieu de la manifestation pour essayer de canaliser, de s’opposer. Bien sûr, ce sont des signes mais ça prouve aussi, surtout qu’ils sont très, très bien organisés, très, très bien formés pour ce genre de combat.

Journaliste: Côté police, la tâche est à vrai dire très compliquée car les manifestants sont arrivés par de petits groupes et se sont mélangés au public du festival «Des expressifs» avant de se rassembler à un seul cortège.

Jean-François Papineau [Directeur départemental de la sécurité publique]: Nous avons retrouvé tout d’abord l’équipement, les émeutiers se sont rapidement défaits pour se fondre justement en foule et dans le public. Nous avons également découvert des cachettes, des lieux où ont été dissimulés certains objets: des massettes, des burins, des masques, des gants, des ballon au gaz lacrymogène.

Journaliste: Dix-sept personnes ont été interpellées et mises en garde-à-vue à l’issu de cette manifestation, y compris les personnes extérieures à la région. La police scientifique et technique, elle possède à ce moment à l’exploitation des traces et des indices.

Приложение Г

Рrésentateur [David Delos]: Un homme a ouvert le feu devant le groupe scolaire juif. Une fusillade qui s’est soldée par la mort de quatre personnes dont trois enfants. Le carnage qui n’est pas sans rappeler: le meurtre des trois parachutistes dans la région la semaine dernière nous reviendra. Dans tout cas, cette tragédie suscite énormément des mois dans la Ville rose et dans tout l’Hexagone.

Journaliste [Rémy Vincent]: L’horreur, le choc se dit sur les visages des enfants du groupe scolaire juif aux “Ozar-Hatorah” à Toulouse. A cet instant la tuerie a eu lieu depuis plus d’une heure. Le tueur s’est enfui en scooter après avoir tiré à bout portant sur plusieurs élèves et parents. Trois enfants et un père de famille ont été tués. Il était 8 heures au moment de la rentrée en classe.

Petite fille, écolière: On a entendu beacoup de coups de feu d’un coup, et on a eu tous très peur… La police arrive… tout ça… Tous sont choqués.

Professeur: Tous les enfants de ce collège sont mes enfants, ce sont mes enfants. Aucune parole n’en fait comprendre.

Journaliste [Rémy Vincent]: C’est ce même message qui est venu transmettre Nilolas Sarkozy. Le président français est arrivé à Toulouse en fin matinée qualifiant cette tuerie de tragédie. Pour le chef de l’Etat toute la communauté nationale est boulversée.

Président de la République [Nicolas Sarkozy]: Demain dans toutes les écoles de France on aura une minute de silence à la mémoire des entants de cette école. Ce sont nos enfants, ce ne sont pas simplement vos enfants, ce sont les nôtres. Nous sommes interpellés par la similitude du mode opératoire dans le drame d'aujourd'hui et dans ceux de la semaine dernière, même s'il faut attendre d'avoir des éléments plus précis.

Journaliste [Rémy Vincent]: Des similitudes du mode opératoire avec des assassinats de militaires qui interpellent aussi les enquêteurs d’abord du lieu du crime: Toulouse et Montauban sont à quelques kilomèters de distance. Ensuite des douilles de gros calibres en l’ocurrence de trois ont été retrouvées au collège Ozar-Hatorah comme lors des assassinats des militaires la semaine dernière. L’ensemble des services de la police judiciaire est mobilisé sur les enquêtes de Toulouse et de Montauban y compris la brigade d’antiterroristes et des services de renseignements intérieurs de la DCRI.

Рrésentateur [David Delos]: Et en direct, Amélie Poisson était une des premières sur place ce matin. Amélie, est-ce que vous pouvez décrire ce que vous avez découvert en arrivant devant le lycée-collège Ozar-Hatorah?

Journaliste [Amélie Poisson]: A la première impression, l’ambiance est très lourde de notre arrivée ce matin peu après 8 heures. De là, de la colère… De la stupeur… Déjà… La rue Jules-Dalou après cette fusillade a été déjà entièrement bloquée, les parents étaient à chaque extrémité de cette rue, à l’extérieur en quelques mètres en sécurité pendant que leurs enfants, eux, étaient à l’intérieur du collège en vision des corps trouvés sur place. Très rapidement tous les services de la police sont arrivés et le procureur de la République Michel Valet. Et pendant de longues heures tout de même les informations sont filtrées au compte-goutte jusqu’à ce que les parents récupèrent leurs enfants fin matinée.

Рrésentateur [David Delos]: Amélie, on a entendu Nicolas Sarcozy, on parle beaucoup de la similitude avec le meurtre des militaires la semaine dernière à Toulouse et à Montauban. Est-ce que c’est une piste que les enquêteurs explorent à ce moment?

Journaliste [Amélie Poisson]: Mais à écouter le procureur de la République ainsi que effectivement Nicolas Sarcozy venu sur place, évoquent la similitude avec la tuerie à Montauban et celle à Toulouse la semaine dernière. Le mode opératoire notamment est semblable: un homme à scooter ouvre le feu, même précision, même froideur, même arme surtout avec le calibre en l’occurrence de trois. Cette question se pose sérieusement selon Michel Valet, le procureur de la République. Les points de la dissemblance, qu’on sent, auraient – couleur de scooter: blanc est nettement vu ce matin ici à Toulouse, noir c’est à Montauban, et le nombre d’armes: une à Montauban, deux semble-t-il ce matin à Toulouse. En tout cas, d’importants moyens sont mis sur cette enquête pour essayer de retrouver au plus vite le ou les auteurs de cette folie.

Рrésentateur [David Delos]: Amélie Poisson en direct de Toulouse. Merci beaucoup, Amélie, pour ces informations. Et c’est toute la communauté juive qui est à l’état de choc après le drame. Une émotion résumée ce matin par le grand rabbin de France, Guilles Bernheim, s’est rendu sur place. On l’écoute au micro de nos confrères de France 2.

Le rabbin [Gilles Bernheim]: Nous sommes tous bouleversés parce qu’il faut savoir qu’il y a des enfants qui ne sont pas seulement de Toulouse, il y a des familles qui vivent ailleurs: peut-être à Paris ou à d’autres régions de France. C’est, donc, une blessure qui affecte la communauté juive dans son ensemble.

Рrésentateur [David Delos]: Et les réactions se sont multipliées tout le long de la journée notamment dans la classe politique – indignation, tristesse – de droites comme de gauches, tous les responsables ont condamné un acte de barbarie abomidable. Ecoutez.

Candidat à l’élection présidentielle [François Hollande]: Il y a de l’horreur. Les enfants tués. Une école juive visée par le tueur. Et une communauté et au-delà de la communauté toute la France qui se sont regroupés. C’est un acte antisémite et un acte raciste car c’est une école juive qui est visée.

Candidatе à l’élection présidentielle [Marine Le Pen]: J’entends que chacun part à Toulouse, je sais pas si c’est la place des candidats à la présidentielle. C’est, je crois, la place du président de la République. Mais nous qui sommes les candidats à la présidentielle, il me semble qu’il faut surtout que nous soyons encore une fois dans la solidarité totale. Parce que c’est justement dans des moments comme celui-là qu’y a pas, qu’y a plus de politique, y a plus de compagnes.

Candidat à l’élection présidentielle [Nicolas Dupont-Aignan]: Moi, ce qui m’inquiète, ce qui m’angoisse comme tous les Français c’est savoir qui seront les prochains sur la liste. Et voilà pourquoi j’espère vraiment, je fais confiance en force de l’ordre pour retrouver les assassins, il y a l’urgence.

Рrésentateur [David Delos]: Et ajoutons une réaction internationale celle de Benyamin Netaniahou, le premier ministre israélien qui a qualifié la tuerie de Toulouse “de meutre méprisable au Dieu des juifs”, fin de citation.

Приложение Д

Рrésentatrice: Comme chaque semaine notre roubrique «Santé». Aujourd’hui nous allons parler de l’Аssociation «Le Rire Médecin». Des clowns à l’hôpital, des clowns qui fêtent leur anniversaire, cela fait 20 ans qu’en France l’Аssociation fait rire les enfants hôspitalisés. Avec nous sa fondatrice et sa directrice Caroline Simonds. Selon le chiffre, cette Аssociation se forme de 87 comédiens professionels qui vont jouer avec les enfants 7 jours par semaine dans les 14 hôpitaux français. Vos clowns sont bien acceptés par le personnel médical 20 plus tard?

Fondatrice de «Rire Médecin» [Caroline Simonds]: Non, c’est pas toujours facile au départ, c’était à bout de méfiance, mais dès qu’il y avait un premier grand professeur Jean Humeul, et c’est Auguste Inphopsy qui a ouvert ses portes. Les choses ont suivi leurs cours, petit à petit, peut-être on a prouvé au milieu au monde médical qu’on a vraiment des choses à emporter, à complétement arrêter des thérapies traditionelles.

Рrésentatrice: Alors, pour bien comprendre ce que, donc, c’est «nez rouges» qui travaillent chez les «Blouses blanches» c’est le titre de cet ouvrage paru aux éditions «Les Impressions Nouvelles» au magnifique ouvrage avec des photographies. Et on va passer aussi au petit extrait pour arriver à comprendre comment et quand ces clowns interviennent.

[Extraits du documents «Jour de clowns» d’Olivier Horn].

Рrésentatrice: Caroline Simonds fait rire les enfants sans les soigner, bien sûr, mais ça de grands vertus thérapeutiques. Vous pouvez nous expliquer à quoi ça sert de faire rire les enfants qui sont à l’hôpital?

Fondatrice de «Rire Médecin» [Caroline Simonds]: Je pense que les enfants qui sont enfermés dans cette situation hôspitalière, ils ont besoin qu’on les libère et qu’ils se souviennent qu’ils sont les enfants. Ils ne sentent pas des maladies. Et que par les clowns, par les jeux et par la poésie aussi on n’évite de redevenir un enfant et de faire des petites bêtises, des grandes bêtises, mis à l’hôpital, et que la vie continue. C’est surtout important.

Рrésentatrice: Alors, on libère, bien sûr, les enfants de certaines angoisses, mais on aide aussi le personnel médical parce qu’en fait cela explique ce que font les médecins les dramatisent, par exemple, la piqûre, on les dramatisent pas mal d’actes, tout finalement médicaux qui paraissent douloureux pour les enfants.

Fondatrice de «Rire Médecin» [Caroline Simonds]: On accompagne les enfants pendant les actes médicaux, c’est-à-dire on fait une vraie distraction comportementale, on va faire une musique bien forte aux moments qui vont piquer, l’enfant devient distrait par des jeux des clowns, et, donc, il va sentir plus moins son angoisse et son douleur. Et l’équipe soignante vraiment se concentre sur le soin, c’est d’être entre eux et aussi de voir un enfant autrement.

Рrésentatrice: Alors, votre Association vit essentiellement de dons mais aussi de mécénat, du don d’argent par des grandes enterprises. Est-ce que vous ressentez l’effet de la crise, est-ce que ça devient difficile, est-ce que le don sera reduit?

Fondatrice de «Rire Médecin» [Caroline Simonds]: Oui, oui. On a fait de très mauvaises semaines pendant ce moment et on se porte bien sur le public pour qu’il soit consсient de l’importance et la pérennité de notre Аssociation. C’est pas le cas de nouvaux projets, je pense c’est quelque chose qui évidente pour les enfants, pour la vie à l’hôpital. Ah, oui, en somme ce n’est pas le désastre, mais on le sent fortement.

Рrésentatrice: Alors, justement si vous voulez faire vos dons à «Le Rire Médecin», regardez ci-dessous sur le bas de l’écran sa fiche. L’adresse Internet du «Rire Médecin» donc, www.leriremedecin.asso.fr. Et n’hésitez pas, bien sûr, envoyez vos dons. Merci, Caroline Simonds, d’être venue sur le plateau de TV5 Monde.

Приложение Е

Envoyé spécial TV5 [Mohamed Kaci]: Et bien, aujourd’hui le taux de participation s’élève la mi-journée à 28,29%, chiffre communiqué par le Ministère de l’Intérieur qui ne tient pas compte précisant du vote des Français de l’étranger, c’est-à-dire des expatriés, qui ne tient pas compte non plus du vote des Français des DOM-TOM, alors bien entendu ce chiffre évolué au fil des heures ce qu’on peut dire, alors, qu’il est… ce qu’il est en légère baisse pratiquement trois points moins par rapport aux élections présidentielles de 2007. C’est une revanche beaucoup, beaucoup mieux de présidentiels de 2002, du 20 avril de 2002. C’est mieux. Il faut le souligner que tous les scrutins présidentiels exceptés, donc, 2002. C’est bien mieux que 2007, pardon, c’est mieux que tous les scrutins présidentiels depuis 1980. Le prochain point du Ministère de l’Intérieur sera à 17 heures, heure française; ce chiffre va donc évolué.

Рrésentatrice: Concernant les resultants des condidats, quand aura-t-on les premiers chiffres, Mohamed?

Envoyé spécial TV5 [Mohamed Kaci]: Alors, vous l’avez dit les Bureaux de vote ferment à 20 heures dans les plus grandes villes de France et il est strictement interdit de diffuser le moindre chiffre, la moindre estimation, le moindre commentaire sur ce scrutin. Au présidentiel, vous savez il y a un vif débat ces dernières semaines sur l’éventuelle diffusion sur l’Internet et sur les réseaux sociaux de premières estimations notamment dès 18 heures. Il faut savoir que nos partenaires, par exemple, de la RTBF, la Télévision Belge, et encore de la RTS, la Télévision Suisse, et bien ne sont pas tenues de respecter cette loi française et elles ont déjà annoncé qu’elles ne respecteront pas cette loi. Ici en vigueur dans l’Hexagone, donc, il faut attendre 20 heures pour avoir les premières estimations en sachant que les Bureaux de vote ferment, comme vous l’avez dit donc, à 20 heures. On se retrouve un petit peu plus tard de l’après midi pour un prochain point sur le taux de participation. Je vous rappelle alors qu’il est 28,29 % à la mi-journée. C’est-à-dire à midi.

Рrésentatrice: Merci, Mohamed.

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